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Et maintenant place au Trophée 2007 ….

Cette jeune fille est à la recherche d'une entreprise d'accueil

pour une formation en alternance pour la rentrée Septembre 2007

Je la recommande vivement

Hieu TO

Tél. 33.1.53.64.32.15. Fax. 33.1.53.64.32.02.

Camille DELIGNAT

157, rue CAZAULT

61000 Alençon

Tél. : 06 77 13 26 36

Née le 28/03/89

FORMATION

2006-2007 : 2ème année de BEP hôtellerie restauration

Lycée Maurice Marland à GRANVILLE (50).

2005-2006 : 1ère année de BEP hôtellerie restauration

Lycée Maurice Marland à GRANVILLE (50).

STAGES

➢ Mai 2006: cuisine /1mois

« Plaza Athénée » Paris VIIIème

➢ avril 2005  cuisine et service /1 mois

«  Les 3 J » à Nocé (61)

➢ mai 2004 : commis de pâtisserie /1 semaine

Boulangerie pâtisserie à Alençon (61)

Décembre 2003 : service dans une brasserie /1 semaine

« La cave aux Bœufs » à Alençon (61)

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|Frank JAULNEAU, nous fait part de son nouveau statut dans son superbe établissement, l’Hôtel Castille, doté de son exceptionnel |

|restaurant « Il Cortile » (voir photo). |

| |

|Frank vous soumet le C.V. d’un de ses Chefs de Rang, dont il pense le plus grand bien (voir C.V. ci-dessous) … |

Je vous informe que mon adresse email a changé (puisque promu au poste de Directeur des Opérations depuis le début février), la nouvelle adresse est : f.jaulneau@

 

Sinon j’ai un Chef de rang qui travaille chez nous, vraiment très professionnel, qui cherche un poste d’assistant maitre d’hôtel ou maitre d’hôtel à Paris et dans la région parisienne. Je joins son CV au cas où vous entendriez parler de quelque chose.

 

A bientôt de vous revoir !

 

Bien cordialement,

 __________________________________________________________________________

Franck Jaulneau

Directeur des Opérations

Director of Operations

33-37 rue Cambon 75001 Paris France

( (33) (0)1.44.58.44.15

4 (33) (0)1.44.58.45.69

+ f.jaulneau@



 

|Benjamin IBGUI | | |[pic] | |

|87 rue du Général Leclerc | | | |

|Résidence Moulin Bateau | | | |

|94370 Sucy en Brie | | | |

|T 06.17.38.57.59 | | | | |

|pcr@hotmail.fr | | | | |

|Né le 20 avril 1976 | | | |

|Nationalité Française | | | |

| |

|Expériences Professionnelles |

| | | | | |

|Mars 06 |Chef de Rang | |HOTEL CASTILLE PARIS |

|à ce jour | | | |

| |Restaurant Il Cortile, gastronomie italienne |

| |En charge de la satisfaction de la clientèle |

| |Accueil, service, facturation |

| | | | | |

|Octobre 05 |Chef de rang / Maitre d’hôtel | |INTERIM NATION |

|à Mars 06 | | | |

| |Diverses missions à l’hôtel Bristol, l’hôtel Ritz, et pour différentes réceptions au sein du ministère de la parité, |

| |ministère des sports |

| | | | | |

|Aout 04 |Directeur d’établissement |BERT’S CAFE CONTEMPORAIN PARIS |

|à Septembre 05 | | |

| |Suivi du Chiffre d’Affaires, Contrôle des coûts (matière & personnel) |

| |Développement commercial |

| | | | | |

|Septembre 03 |Manager |MAC DONALD |

|à Juillet 04  | | |

| |Suivi HACCP |

| |Gestion du personnel, gestion des stocks |

| | | | | |

|Juillet 00 |Assistant manager |DISNEYLAND PARIS |

|à Juillet 03 : | | |

| |Evolution dans 3 concepts de restauration : Auberge de Cendrillon et Manhattan (restaurants gastronomiques), Silver Spur |

| |(steak house) |

| |Gestion du personnel/procédures RH |

| |Gestion des stocks |

| |Etablissement du budget annuel |

| | | | | |

|Septembre 98 |Maître d’hôtel | |HOTEL HOLIDAY-INN VILLETTE |

|à Juin 00 | | | |

| |Restaurant de l’Auditorium (cuisine traditionnelle) |

| |Responsabilité du restaurant, bar et room service |

| |Gestion du personnel (plannings…) |

| | | | | |

|Septembre 97 |Chef de rang | |DISNEYLAND PARIS |

|à Aout 98 | | | |

| |Restaurant Park Side Dinner (cuisine internationale) |

| |Accueil, service, facturation |

| | | | | |

|Octobre 96 |Service national au Mess des Officiers de l’Ecole Militaire de Paris |

|à Aout 97 | |

| | | | | |

|Juin 96 |Demi-Chef de rang |HOTEL PLAZA ATHENEE |

|à Septembre 96  | | |

| |Restaurant Le Régence (gastronomie française) |

| |Contrat saisonnier |

| |

|Formation |

|1996 Baccalauréat Professionnel Hôtellerie Restauration - Lycée Antonin Carême (77) |

|1994 BEP/CAP Service et Art de la Table |

| | | | | |

|Langues | |Divers | |

|Anglais : Lu, parlé, écrit |Loisirs : arts martiaux, cinéma |

|Hébreu : Lu, parlé, écrit |Informatique : Power point, Excel, Word, Internet, Micros et Winner |

|Espagnol : Lu, parlé, écrit |Voyages : Angleterre, Suède, Canada, Espagne |

| |Titulaire du permis B, véhiculé |

La dernière surprise de notre ami Mario PERTUSA

Pourrais-tu STP diffuser à  tous nos collègues C.D.R.E. France ce qui suit :

Ne faisant plus parti de la société EBH depuis le 1er mars

Je vous remercie de noter

Mon nouveau numéro de téléphone : 06 78 14 26 49 mon adresse mail reste la même pour l'instant.

Cordialement

Mario

La réaction du Président :

Mario,

Je te formule, à titre personnel et au nom de tous les membres du CDRE France, mes meilleurs voeux de réussites dans tes futures entreprises.

Au plaisir de te revoir,

Très amicalement

Hieu

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|Enquête |

|Les étoiles d'hôtels ont perdu leur éclat |

|LE MONDE | 02.03.07 | 17h43  •  Mis à jour le 02.03.07 | 17h43 |

| | |

|es voyageurs habitués à descendre à l'hôtel savent que l'attribution d'un certain nombre d'étoiles ne garantit ni la qualité de la prestation ni le| |

|prix d'un établissement. La réglementation en vigueur, qui date de 1986, est largement obsolète. Parmi les 21 critères permettant d'attribuer aux | |

|établissements entre zéro et quatre étoiles figurent encore l'existence d'un "poste téléphonique par étage" ou l'assurance que les clients pourront| |

|bénéficier de l'"eau chaude et froide à toute heure". | |

| | |

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|réglementation | |

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|Elle est en vigueur depuis le décret publié le 6 mars 1986. | |

|cinq chambres minimum, surface utile de 8 m2 par chambre double, au moins un WC et une salle de bains pour vingt personnes. | |

|Une étoile : sept chambres minimum de 9 m2 chacune, salle de bains dans 20 % d'entre elles au moins et téléphone intérieur dans toutes. | |

|Deux étoiles : ascenseur pour les établissements comportant quatre étages ou plus, 9 m2 par chambre, WC et salle de bains dans 40 % d'entre elles, | |

|bidet dans les autres et téléphone extérieur dans toutes. Pratique d'une langue étrangère. | |

|Trois étoiles : ascenseur à partir de trois étages, dix chambres de 10 m2, WC et salle de bains dans 80 % d'entre elles, petit déjeuner possible en| |

|chambre, deux WC communs supplémentaires. | |

|Quatre étoiles : ascenseur à partir de deux étages, 12 m2 par chambre, bidet et salle de bains dans toutes, WC dans 90 %, restaurant. | |

|Quatre étoiles luxe : ascenseur à partir d'un étage, 14 m2 par chambre, salle de bains, WC et bidet dans toutes, suites, restaurant. | |

| | |

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|En revanche, l'insonorisation des chambres ou, bien sûr, l'accès à Internet haut débit ne font pas partie des normes édictées il y a plus de vingt | |

|ans. La classe "palace" ne fait en outre l'objet d'aucune définition, et certains hôteliers revendiquent l'appartenance à une catégorie "trois | |

|étoiles luxe" qui n'existe pourtant pas dans la réglementation... | |

|L'association de consommateurs Consommation, logement et cadre de vie (CLCV), qui a réalisé une enquête en 2005, estime que, "si les consommateurs | |

|français ont une perception plutôt positive du système de classement, il apparaît qu'ils sont très peu informés sur les critères pris en compte et | |

|sur les différences entre les catégories". | |

|Les clients, français ou étrangers, décident donc tout autant en fonction de la réputation des chaînes hôtelières que des étoiles. Mais, là encore,| |

|la déception peut être vive. Si le service et la restauration proposés dans les hôtels de chaîne correspondent généralement aux attentes suggérées | |

|par la nomenclature, les chambres apparaissent parfois petites, défraîchies, voire sales. Le classement des Logis de France en cheminées ne | |

|coïncide pas systématiquement avec les normes officielles. Un "logis" affichant trois cheminées est doté tantôt de deux, tantôt de trois étoiles. | |

|Chez Accor, on admet que les hôtels Mercure, censés correspondre à des trois-étoiles, n'en ont parfois que deux ou en affichent au contraire | |

|quatre. | |

|En outre, la classification française détonne par rapport aux normes internationales. Ainsi, la France ne compte pas d'hôtels cinq étoiles, une | |

|norme couramment rencontrée ailleurs en Europe, mais des "quatre-étoiles luxe". "Lorsque nous participons à des appels d'offres pour des | |

|conférences internationales, nous devons expliquer qu'en France les quatre-étoiles luxe correspondent aux cinq-étoiles", regrette Yann Caillère, | |

|directeur général du groupe Accor. "Les étrangers s'y perdent, dénonce Jaume Tàpies, président de la chaîne Relais & Châteaux. Cette disparité au | |

|sein du classement hôtelier est mauvaise pour l'image de la France." | |

|Mark Watkins, président du cabinet de consultants Coach Omnium, milite depuis deux ans pour une réforme de la classification, mais celle-ci peine à| |

|aboutir. "Les syndicats professionnels ont tendance à freiner car ils estiment qu'un changement obligerait tous les hôteliers à effectuer | |

|d'importants investissements", explique le consultant, qui a fondé un Comité pour la modernisation de l'hôtellerie française. | |

|Le ministère du tourisme a réuni les professionnels dans un groupe de travail à l'automne 2006. Une réforme du classement est en préparation, mais | |

|celle-ci, initialement prévue pour le mois de mars, risque d'être reportée au lendemain de la formation du prochain gouvernement. Le peu | |

|d'empressement des pouvoirs publics s'expliquerait par le fait que "seuls 15 % des Français vont à l'hôtel au moins une fois par an, alors que 90 %| |

|se rendent au restaurant", juge M. Watkins. Résultat, selon lui : "Un quart du parc hôtelier français est vétuste, auquel il faut ajouter un tiers | |

|à bout de souffle." | |

|Pour l'instant, les professionnels se sont mis d'accord sur des questions "de forme", explique M. Watkins. La création de la catégorie cinq étoiles| |

|est acquise. Le groupe de travail a aussi déterminé la manière dont s'effectuera le contrôle des prestations offertes. Un site Internet | |

|répertoriera l'ensemble des hôtels classés, indiquera la date du dernier contrôle et donnera aux clients la possibilité de déposer des plaintes. | |

|Une fois le nouveau classement entré en vigueur, les hôteliers disposeraient d'un délai de trois à cinq ans pour se mettre en conformité. Le | |

|ministère s'interroge sur l'évolution régulière de la réglementation, qui devra s'adapter aux technologies et aux exigences des clients. | |

|En revanche, le groupe de travail a des difficultés à arrêter le contenu des normes. M. Watkins plaide pour que celles-ci fassent l'objet d'une | |

|étude approfondie. "La surface minimale de la salle de bains pour un trois-étoiles est fixée à 2,5 m2. Or les clients ont tendance à grossir, | |

|remarque-t-il. Faut-il réévaluer cette surface ? On ne le saura qu'en consultant un panel de consommateurs ainsi que des architectes." | |

|Les acteurs de l'hôtellerie n'ont pas non plus scellé le sort des hôtels non classés. Des 30 000 établissements existant en France, 12 000, soit 40| |

|%, échappent au classement. Il ne s'agit pas seulement d'hôtels "borgnes" : de nombreux établissements appartenant à des chaînes ont décidé de se | |

|passer des étoiles, considérant que la marque suffit à leur reconnaissance. | |

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|Portrait |

|Barbot : la surprise du chef |

|LE MONDE | 01.03.07 | 16h22  •  Mis à jour le 01.03.07 | 16h22 |

| | |

|e rouge du vénérable Michelin prendrait-il des allures révolutionnaires ? Non contente d'attribuer trois étoiles à une femme chef, Anne-Sophie Pic,| |

|pour la première fois depuis 1933, l'édition 2007 du célèbre guide gastronomique couronne parmi ses cinq nouveaux triples macarons un restaurant | |

|parisien résolument atypique, L'Astrance. Loin des critères d'opulence prétendument incontournables pour arriver au sommet, on ne trouve pas | |

|d'argenterie dans cette petite salle de 25 couverts, pas de spectaculaire piano dans cette cuisine de 20 m2, pas même de carte, mais un "menu | |

|surprise", témoin de l'inspiration du jour et du talent virevoltant d'un Vichyssois de 34 ans, Pascal Barbot. "Et de Christophe Rohat !", | |

|s'empresse d'ajouter le chef aux airs de lutin malicieux, toujours attentif à ce qu'on n'oublie pas (au point de refuser de faire des photos sans | |

|lui) le dynamique Parisien, d'un an son aîné, qui transpose dans la salle l'identité d'un projet, mené en duo depuis l'ouverture, en octobre 2000. | |

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|Parcours | |

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|1972 | |

|Naissance à Vichy. | |

|1993 | |

|Collabore à L'Arpège avec Alain Passard jusqu'en 1998. | |

|1995 | |

|Rencontre avec Christophe Rohat. | |

|1998 | |

|Part travailler en Australie. | |

|2000 | |

|Ouverture de L'Astrance, à Paris. | |

|2007 | |

|Obtient sa troisième étoile au guide Michelin. | |

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|Ce lundi matin - un de leurs trois jours de fermeture hebdomadaire - Christophe vaque à sa comptabilité, Pascal à ses achats, dans le design | |

|anthracite du restaurant. Pas plus perturbés que cela par l'annonce de cette troisième étoile Michelin, pour laquelle certains se damneraient. "Au | |

|début, cela retourne un peu la tête", reconnaît Rohat. "Mais cela n'a jamais été un objectif", précise Barbot. "Quand on a acheté ici, on s'était | |

|dit que ce serait bien d'obtenir une étoile en quatre ans. Elle est venue au bout de cinq mois, c'était déjà énorme." | |

|Ils se sont rencontrés, en 1995, à L'Arpège, restaurant parisien d'Alain Passard, un des premiers chefs trois étoilés à avoir privilégié | |

|l'excellence de la cuisine au luxe de son cadre. Au piano et en salle, les jeunes gens étaient devenus les hommes de confiance de ce maître | |

|rôtisseur, grand passionné de légumes, qui communiquera à Pascal Barbot l'obsession du beau produit. "Pascal était particulièrement doué dans trois| |

|écoles, s'enthousiasme encore aujourd'hui Alain Passard. Celles du feu, de l'assaisonnement et de la créativité. Sa sérénité m'impressionnait | |

|autant que sa curiosité." C'est lui qui suggéra aux deux complices de créer leur propre restaurant. | |

|A une époque où le concept de "grande maison" à la française traverse une crise, symbolisée par les menaces de dépôt de bilan de Marc Meneau à | |

|Saint-Père-sous-Vézelay, et où l'ambition des pointures des fourneaux s'appuie souvent sur la solidité financière des groupes hôteliers, le binôme | |

|Barbot-Rohat a choisi de s'épanouir en toute indépendance. "Bien-être est le maître mot, expliquent-ils, celui du client et le nôtre. Notre but | |

|était de façonner notre univers, sans sacrifier notre qualité de vie." Bien sûr, les premiers mois furent éreintants sur les contreforts de Passy, | |

|dans cette minuscule rue Beethoven, dans le 16e arrondissement de Paris, à l'écart de tout commerce. | |

|Mais très vite, les clients de L'Astrance - une plante d'Auvergne non comestible - connaissent leurs premières transes. Une fois goûtés la soupe au| |

|pain grillé, la galette de champignons au foie gras mariné au verjus, le rouget aux saveurs de curry, papaye et mangue verte, les voilà convaincus | |

|de la naissance d'un grand. Au point que, dès 2001, il faut parfois patienter six semaines pour obtenir une réservation. | |

|Fixé dès le début comme objectif, même s'il a d'abord complété par une petite carte, le "menu surprise" devient le principe conducteur du | |

|restaurant. A L'Astrance, au lieu de commander des plats, le convive confie ses réticences gustatives ou alimentaires à Christophe Rohat. Pascal | |

|Barbot décline ensuite, quasiment "à la tête du client", un repas d'une quinzaine de délices (pour le menu du soir, à 170 euros) composé à partir | |

|des produits s'imposant au jour le jour par leur excellence et selon l'intuition du chef. | |

|Si ce concept permet une gestion plus simple des stocks, le chef ayant l'assurance de toujours vider son frigo, le défi tient dans la capacité | |

|d'improvisation du cuisinier et dans l'exigence d'un réseau très fourni de petits producteurs. Capable de murmurer des mots doux à une pintade en | |

|cours de cuisson, ce garçon pudique confie parfois que ses menus racontent sa vie et ses voyages. Le potager familial a longtemps été son seul | |

|horizon gourmand. | |

|Si le désir de se mettre aux fourneaux couvait depuis l'enfance, les notions de haute cuisine, de grand chef et de guide gastronomique restaient | |

|étrangères à ce fils d'ouvrier. L'école hôtelière, en 1986, un apprentissage dans de bonnes maisons régionales feront de sages premières gammes. | |

|Jusqu'à ce que Pascal Barbot s'échappe hors de l'Hexagone. Une place à Londres, à 18 ans, et l'étonnement de trouver en cuisine sauce soja et sauce| |

|d'huîtres. Service militaire, ensuite, en Nouvelle-Calédonie et l'émerveillement de voir les Kanaks cuire le poisson sur une pierre chaude en | |

|l'arrosant d'eau de coco. Deux ans, enfin, en Australie pour s'épanouir définitivement au contact de la variété des cultures et des produits | |

|locaux. "Ce séjour en Australie m'a décomplexé, confirme Barbot. La blanquette fait autant partie de mon patrimoine que la mangue, le piment, le | |

|coco ou le plantain." | |

|Depuis, ce magicien globe-trotteur ne perd jamais une occasion de s'aventurer au Japon, en Indonésie, au Maroc, en Inde, en quête d'épices, de | |

|techniques et de nouvelles sensations culinaires. Comme lors de ce séjour passé au nord de la Thaïlande à apprivoiser, chez l'habitant, la | |

|complexité de la pâte de curry, réinventée ensuite à L'Astrance sous la forme, par exemple, d'un curry noir - incluant, entre autres, réglisse, | |

|café, olives et encre de seiche - explosant au côté d'une selle d'agneau. | |

|Transcendée par l'imagination de ce cuisinier auteur et un savoir-faire influencé par des maîtres admirés (Bras, Gagnaire, Veyrat, Roellinger, | |

|Troigros ou le futuriste Ferran Adria), cette connaissance mondialisée des goûts se conjugue avec une remarquable harmonie. On jubile devant la | |

|subtilité de son sorbet piment-citronnelle, le mariage iodé-acidulé d'une saint-jacques au bouillon d'algues et émulsion coco-tamarin ou la volupté| |

|d'un beurre de brioche (alliant techniques du braisage et de la pâtisserie) accompagnant une volaille. "Avec Pascal, le premier essai est souvent | |

|le bon. C'est comme s'il avait en tête tous les goûts des produits. C'est un artiste", admire Christophe Rohat. C'est sans doute cela qu'a | |

|récompensé le Guide rouge. | |

|Stéphane Davet | |

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|Topinamour |

|LEMONDE.FR | 02.03.07 | 10h58  •  Mis à jour le 02.03.07 | 10h58 |

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|La Toile gourmande | |

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|DR | |

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|er de lance d'un monde nouveau lors de sa découverte au XVIIe siècle au Canada, il a été supplanté par un autre tubercule, la pomme de terre, puis | |

|a fait les frais de sa propension à nourrir les populations lors des disettes pendant la guerre. Cochons et vaches limousines lui sont toutefois | |

|reconnaissants. Il se laisse préparer sans rechigner et enchante les palais du XXIe siècle. | |

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|Dénommé par les Italiens"girasole articiocco", pour son affiliation à la famille du tournesol et son parfum d'artichaut, girasole devient | |

|"Jerusalem" par déformation quand il arrive en Angleterre. Et voilà le topinambour affublé du doux nom d'"artichaut de Jérusalem". Son velouté | |

|s'accorde avec la poire, il se râpe en salade, se gratine, se tartine avec un zeste de piment et se plaît en purée. En cake avec de la coppa ou en | |

|galette uni au potimarron, il se découvre aisément. Aux salves de désamour succèdent des accents de velours. | |

|Anne Guillard | |

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MARKETING VENTE

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Des caisses, des ordinateurs et des informations utiles… mais existe-t-il un système idéal ?

 

La plupart des restaurants sont dans l’incapacité de comptabiliser avec exactitude le coût matière de chaque produit vendu sous toutes ses formes. Evoquer la marge brute des produits relève alors de la gageure, constate Thierry Poupard, consultant spécialiste en marketing-vente, dans sa chronique  bimensuelle sur . Un vrai challenge pour les entreprises spécialisées dans les systèmes d’information au service de la restauration...

N'hésitez pas à réagir ou à poser des questions en écrivant à tp@

1er Mars 2007 - chronique N°14

La High Tech a davantage envahi nos salons, nos bureaux, nos voitures et nos poches que nos restaurants. Qu’en est-il des technologies de l’information au service de la comptabilité et des finances, bien sur, mais aussi du marketing, des ventes et, donc, des clients ? Eh bien, de la frappe sur les touches des caisses au point de vente à la lecture du rapport au siège, il y a bien des lacunes !

Le petit restaurateur indépendant utilise encore, bien souvent, un calepin et un crayon. Aucun risque de bug ou de plantage informatique, mais pas trop d’analyses non plus. La restauration collective, dans son ensemble, et certaines enseignes de restauration commerciale ne s’embarrassent pas avec le management des ventes ; elles valorisent leur activité dans la différence entre les quantités achetées à un certain prix et les quantités vendues à un autre prix. Question d’habitude et de culture, sans doute. La restauration à service à table détient la capacité de pouvoir ventiler les ventes par un nombre précis de clients, celui-ci étant tapé sur chaque ticket. Curieusement, un abus linguistique lui fait parler de « ticket moyen » alors qu’il s’agit de  « couvert moyen », car on fait bien référence au montant de l’addition divisé par le nombre de convives qui y figurent. C’est un énorme avantage sur la restauration rapide qui, elle, ne peut savoir combien de personnes constituent le ticket car il n’y a de possibilité, ni de compter ces clients, ni de fractionner la commande par individu. Faute de mieux, cette faille ne peut être comblée que par les études. Enfin, à l’exception de la restauration rapide dite à l’anglo-saxonne, la plupart des types de restauration, la plupart des chaînes sont dans l’incapacité de comptabiliser avec exactitude le coût matière de chaque produit vendu sous toutes ses formes, soit par essence, lorsque les recettes sont en perpétuel renouvellement ou que le cours de ingrédients fluctue de façon quasi quotidienne, soit par omission, lorsque les fiches recettes ne sont pas valorisées. Evoquer la marge brute des produits relève alors de la gageure.

Or, pour analyser en finesse et manager les ventes, pour entreprendre les actions de marketing nécessaires au restaurant et favorables au client, il est indispensable que l’informatique et, à sa source, les caisses, puisse intégrer les composantes fondamentales de l’activité, à savoir : combien de clients visitent mon restaurant, à combien viennent-ils, à quelle fréquence, combien de produits achètent-ils, quelle est la valeur de ces produits et quelle est leur marge unitaire ? A partir de là, tous les calculs de consolidation sont possibles, jusqu’au sommet de la pyramide avec le chiffre d’affaires et le profit. Seule la fréquence de visite soulève un problème de saisi. Elle n’en reste pas moins une donnée vitale, surtout pour qui veut aborder le sujet de la fidélisation. Voilà un vrai challenge pour les entreprises spécialisées dans les systèmes d’information au service de la restauration.

 

@ Thierry Poupard

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| |[|Yushi : les makis du Troka ! | |

| |p|04/03/2007 | |

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| |c|Petit frère du désormais réputé Yushi Saint Germain, Yushi 16 débarque rive droite, à deux pas du | |

|[pic] |]|Trocadéro. Une cuisine ambitieuse aux confluents de la gastronomie nipponne et européenne. | |

| | |Isabelle et Gabriel Lwin ainsi que le chef Lu, vous entraînent dans des dégustations bien | |

|[pic] | |inédites. Il faut bien se rendre à l’évidence, il n’y a pas que les sushis dans la vie ! | |

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|[pic] | |Gastronomique et convivial | |

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| | |On y déjeune avec plaisir le midi tant le travail à la minute du chef Lu sur le grand bar à sushi | |

| | |sashimi n’en finit pas de nous captiver ou, dans une ambiance plus intime, le soir, protégé par | |

| | |l’atmosphère cosy des boxes et leurs panneaux d’acajou dentelés... Au menu : les classique | |

| | |japonais certes (sushi, sashimi, tempura, maki...) mais également une savoureuse cuisine vapeur ou| |

| | |au wok. Ici les épices et les herbes ont droit de cité, passeport audacieux pour une cuisine au | |

| | |final mixte et inventive. A tester d’urgence : le homard sauté sauce chili ou l’éternel canard | |

| | |laqué juste caramélisé, évidemment légèrement gras mais tellement onctueux...! | |

| |[|Caffe Vergnano 1882 |

| |p|01/03/2007 |

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| |c|Près de l’Ecole Militaire, la rue Cler, son ambiance particulière, un quartier en soi. |

|[pic] |]| |

| | |Ce restaurant et traiteur de toute heure récemment ouvert propose une carte courte à prix doux, |

| | |préparée en partie dans les grandes cuisines du sous-sol, sous la houlette de Claudio Sammarone. |

| | |La mise en place est importante, l’exécution habile. Les antipasti de légumes sont cuits avec ce |

| | |qu’il faut de croquant, poivron, aubergine, courgette, artichaut et tomate ont du goût. La |

| | |ratatouille est très bonne, la mozzarella de qualité. Les pâtes sont cuites à la commande dans des|

| | |bouillons, farcies ou non, la ricotta et betterave est intéressante. Veau ou rumsteak à la carte, |

| | |on espère un poisson. Le choix des vins de soleil est bien vu. Une terrasse couverte toute l’année|

| | |est en cours de réflexion, afin de vous laisser profiter du sirop de la rue commerçante. C’est un |

| | |concept, donc un peu formaté, mais cordialité, Rinaldo dans mon rang, et qualité des produits |

| | |doivent vous inciter à y aller avec plaisir. |

| | | |

| | | |

| | |Patrice Halary |

|[pic] |[|Armani Caffé |

| |p|26/02/2007 |

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| |c|Le temps semble glisser sur l’Armani Caffé. Clientèle Rive Gauche inoxydable. |

| |]| |

| | |Tout y reste soigné, la cordialité de l’accueil, le décor intimiste, l’assiette de qualité, |

| | |l’imposant choix des vins, expliqué simplement en courtes lignes. L’équipe travaille à concocter |

| | |des plats enthousiasmants, renouvelés et goûteux. Petite assiette apéritive de culatello di |

| | |zibello, puis Vitello tonnato (rôti de veau aux herbes couvert d’un velouté de thon et câpres), |

| | |accompagnement à la fine saveur, est un régal, même si ce soir là il était un rien cuit. Risotto |

| | |col puntel, un mantecato, cuisse de caille rôtie et Saint Jacques, crémeux, onctueux, les cèpes de|

| | |la vallée du Taro, cuits entiers dans une espèce de cocotte en pierre, accompagné de beignets au |

| | |fromage, était un délice de saison. Les poissons viennent de la lagune, livrés chaque deux jours, |

| | |l’assiette s’en trouve bondissante de fraîcheur, et, un peu fatalement, l’addition aussi. Malgré |

| | |une cuisine exiguë tout est fait maison. Prenez un verre de Valcanziria, blanc de Sicile, jaune |

| | |paille, sec, puis un Barolo Cerequio 99, Piémont, vin équilibré et soyeux. Une très bonne maison |

| | |italienne sous la houlette de l’irremplaçable Massimo Mori. Il connaît sa Carte sur le bout des |

| | |doigts, vous engage à goûter ceci ou cela, cet homme est unique de gentillesse et d’efficacité (Sa|

| | |propre maison, Mori Venice, Place de la Bourse en est la parfaite illustration). |

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| | |Patrice Halary |

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|L'ACTUALITé DU JOUR |

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|Carlton achève son OPA sur Mövenpick 02/03/2007 |

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|Le groupe Carlton est désormais entièrement propriétaire de la chaîne hôtelière suisse Mövenpick. | |

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|Carlton détient désormais 99,34% des droits de vote de la chaîne hôtelière Mövenpick. | |

|Déjà actionnaire majoritaire de la chaîne hôtelière suisse, le groupe Carlton avait lancé une OPA en | |

|novembre dernier sur les 12,48% du capital de la chaîne qui lui échappait encore. L’Offre s’est achevée| |

|le 16 janvier. | |

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|Un cigare 100% français |[pic][pic] |

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|Une origine peu ordinaire | |

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|Reportage : Alexandre Sioc'Han / Made-in-France | |

|Ce cigare est peu ordinaire. Il a tout d’un Cubain et, pourtant, il est 100% français. | |

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Insolites

[pic]Une université japonaise a mis au point un barman et un serveur humanoïdes capables de concocter des cocktails bien frais, de les servir avec style puis, miracle, de faire la vaisselle. /Photo prise le 28 février 2007/REUTERS/Kim Kyung-Hoon - © REUTERS

Robot, un cocktail et l'addition!

03/03/2007 - 12h12 - © Reuters

Une université japonaise a mis au point un barman et un serveur humanoïdes capables de concocter des cocktails bien frais, de les servir avec style puis, miracle, de faire la vaisselle.

Les deux robots, baptisés HRP-2 n°7" et n°8, travaillent en équipe pour servir les boissons et ramasser les verres vides. Ils ont également la capacité d'ouvrir un robinet et de remplir un récipient.

Même s'ils prennent leur travail très au sérieux, les résultats ne sont pas toujours au rendez-vous et aussi bien n°7 que n°8 renversent régulièrement les consommations des clients. Ils doivent ainsi porter des gants de cuisine imperméables pour se protéger les mains.

Les ingénieurs de l'université de Tokyo à l'origine du projet envisagent désormais de les programmer pour débarrasser une table, charger une machine à laver et plier le linge.

"Ils peuvent être une vraie bénédiction pour les couples dans lesquels l'homme et la femme travaillent parce qu'ils s'occupent des tâches ménagères pendant que vous êtes absent", assure Masayuki Inaba, le père des deux robots.

La mise au point d'un seul robot coûte actuellement 50 millions de yens (325.000 euros), un coût qu'Inaba espère significativement réduire d'ici dix ans.

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|[pic] |La "malbouffe " |

| |De la malbouffe au pays de la gastronomie, il y en a sans doute toujours eu. Mais si les papilles |

| |gustatives ne sont plus éduquées, il y a pire, la malbouffe est parfois fabriquée pour plaire et non|

| |plus pour nourrir. |

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> Ces aliments qui font peur

Dans « Savoir manger » (Flammarion), les docteurs Jean-Michel Cohen et Patrick Serog révèlent la composition des 10 000 produits alimentaires que nous consommons tous les jours.

> Les atouts maîtres de Vitagora

La capitale régionale dispose de solides atouts : une renommée internationale autour de produits phares, comme le vin, la moutarde ou, moins connu, le blé. Mais également un tissu scientifique dense, qui couvre tous les aspects de l’agroalimentaire.

> « Mangeons bien, mangeons sain »

Cinq à dix légumes par jour, des oligo-éléments, des oméga 3 : difficile d’échapper aux bombardements de préceptes diététiques. Pourtant, manger sain, c’est facile. Il suffit de bien choisir ces produits. Et d’oser varier.

> Sains microbes !

À force d'aseptiser notre assiette, l'industrie agroalimentaire a créé malgré elle de nouvelles menaces pour notre système immunitaire.

> Comment on nous gave de sucre

Nous engloutissons chaque année 34 kilos de sucre, 11 de plus qu’il y a cinq ans. Voici comment notre consommation dérape dangereusement

> 17,5 %

- C'est le chiffre proposé par la BMA (British Medical Association) pour taxer la « malbouffe » en Grande-Bretagne et lutter contre l'obésité

> McDo : Le paradoxe français

L’enseigne mythique de l’Amérique s’essouffle outre-Atlantique. Elle a perdu 40 % de sa valeur en Bourse. Incroyable, c’est au pays de José Bové que McDo cartonne !

> Dans le panier de l'Inra

Une tomate standard au goût de la tomate cerise, une pêche plate, un abricot « sanguin »... Petit inventaire des trouvailles de l’Inra à Avignon.

> La papille numérique Alpha MOS a du nez

Marché presque inattendu et dont l’étendue reste insondable, les détecteurs sensitifs high-tech développés à Toulouse par Alpha Mos intéressent de nombreux pays. Et les applications de ces organes robotiques sont légion.

> Chasseurs de toxines

La sécurité alimentaire n’étant pas l’un des plus minces dossiers de santé publique, à Toulouse, la communauté scientifique s’organise pour activer une prévention très en amont.

> L'étrange campagne de McDo

« Il ne faut pas dépasser une visite chez McDo par semaine. » Le conseil, c'est McDonald's lui-même qui le donne dans sa dernière campagne publicitaire !

> Malbouffe à la cantine

 Malgré les recommandations administratives, la qualité des repas servis à nos enfants reste incertaine.

> Overdose de sel dans l'assiette des Français

Les Français consomment deux à trois fois trop de sel. Conséquence : 75 000 accidents cardio-vasculaires chaque année ! Ce sel que nous ingérons, ce sont les industriels de l’agroalimentaire qui le rajoutent

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Lancement du Bocuse d'Or Europe

Pour la première fois, le Bocuse d'Or connaîtra une sélection en Europe continentale, à Stavanger, Norvège, les 1er et 2 juillet 2008. Un événement qui a été imaginé après le succès rencontré à la Copa Azteca, concours qui s'est déroulé au Mexique en 2005.

Le Bocuse d'Or Europe réunira une vingtaine de pays d'Europe continentale. Parmi eux, certains pays candidats auront déjà une place assurée pour 2009, en fait, les six premiers du classement du Bocuse d'Or 2007. Les autres nations devront passer par le Bocuse d'Or Europe pour prendre leur ticket d'entrée donnant accès à la finale qui se déroulera donc à Lyon en 2009.

Le 28/02/2007

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Le Concierge Virtuel : un nouveau service du Plaza Athénée

L'hôtel du Plaza Athénée à Paris 8ème présente un nouveau service, le «Concierge Virtuel», grâce auquel sa clientèle peut visiter Paris, pour 30 euros par jour, de façon ludique.

Ce petit ordinateur de la taille d'un I-pod est équipé d'un GPS. Il guide l'usager vers les lieux les plus touristiques de la capitale. Doté de plus de 1 000 adresses (musées, restaurants, boutique,…), il offre la possibilité d'écouter dans 4 langues différentes (français, anglais, japonais, espagnol) de courtes présentations sur les monuments de Paris. Il contient encore un dictionnaire.

Le 28/02/2007

Le Four Seasons Hotel George V à la reconquête de la troisième étoile

«Le palmarès Michelin 2007 venant d'être publié, il nous est apparu opportun de commenter les résultats de notre établissement,» introduit la direction du George V.

«Au delà de la très grande déception suscitée par la perte d'une étoile (la 3ème), toute notre équipe est désormais tournée vers les douze prochains mois nous séparant de l'édition 2008 du célèbre Guide Rouge». «Cuisine, salle et direction se mobilisent dès aujourd'hui afin de reconquérir, et l'étoile manquante, et la confiance des inspecteurs du prestigieux guide». Et le tout nouveau directeur général et vice-président régional Christopher Norton de déclarer : «j'ai toute confiance en l'équipe du Cinq pour relever ce défi avec passion et une toute nouvelle énergie.»

Le 27/02/2007

Olympiades des Métiers, service en salle : A la reconquête du titre perdu

Les Olympiades des Métiers représentent pour le service en salle la seule compétition internationale, avec la coupe Georges Baptiste, de grande envergue permettant à leurs professionnels de moins de 23 ans de se confronter avec l'élite mondiale.

Pour Gil Galasso, MOF en salle et professeur au lycée hôtelier de Biarritz, qui entraîne une finaliste, Julia Oudill, qui concourra en mars (28 au 31 mars 2007) à la Mégacité d'Amiens, le concours est l'occasion d'entamer une réflexion sur la compétitivité de la France dans ce domaine (la finale internationale se tient en novembre 2007 à Shizuoka au Japon)

: «La France est toujours la première destination du monde en matière de tourisme. Hors je ne suis pas sûr que le niveau de service soit toujours au rendez-vous. Si la cuisine française est toujours considérée comme la meilleure du monde, qu'en est-il du service «à la française» ?

Les concours professionnels nous servent d'indicateurs pour mesurer la santé d'une profession. Lors des dernières Olympiades, nous avons pu malheureusement constater qu'à la dernière session, organisée à Helsinki en Finlande en 2005, la France prenait la 11ème place en service en salle, sur 14 nations en compétition.

Est-ce à dire que notre niveau de service en salle est au plus bas à l'échelle mondiale ? Non bien sûr, mais il est peut-être temps d'arrêter de penser que le monde du service tourne autour des crêpes Suzette. Le candidat français à Helsinki, Julien, brillant jeune professionnel par ailleurs, me racontait que certains candidats, lors de la réalisation d'un steak au poivre, avaient été bien notés alors qu'ils avaient fait revenir la garniture avec la sauce ! Autre exemple, le lauréat des dernières olympiades a ouvert une bouteille de Champagne en faisant sauter le bouchon, et il a reçu une bonne note à cette épreuve ! Il faut donc changer notre stratégie de préparation de nos candidats. Il faut repenser les gestes techniques, reprendre tout à zéro.

Nos schémas sont basés sur des livres de travaux pratiques restaurant des années 40. En fait, collectionneur de livres de restauration, je peux affirmer qu'il n'y a pas eu vraiment d'innovation en France dans le service en salle, depuis le livre d'A. Aurières et A. Antonietti ( -U1THTE/-AURIERES-A.-ET-A.-ANTONIETTI/-LE-SERVICE-DU-RESTAURANT,DES-ETAGES,DU-SALON-DE-THE,DU-BAR.html ) de 1948.

J'ai décidé de m'investir cette année car j'ai la chance de compter parmi mes élèves une candidate hors du commun. Nous avons repris avec Julia Oudill les techniques, une à une, en ouvrant nos yeux sur ce qui se fait à l'étranger, et en allant rechercher les tours de mains de nos anciens, aujourd'hui oubliés. De ce travail est sorti une nouvelle approche que Julia a présenté lors des épreuves régionales, à Bordeaux, qu'elle a brillamment remportées. Grâce aux moyens que met en œuvre le lycée hôtelier de Biarritz, et la région Aquitaine (prise en charge par des préparateurs physiques et psychologiques des candidats), je suis persuadé que Julia aura les moyens de remettre la France à la place où elle devrait être en ce qui concerne le service en salle : la première».

Le 26/02/2007

26/02/2007 0

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Gastronomie - Groupe Royal Monceau (Suite)

Alors que le Royal Monceau est fermé depuis janvier dernier, les deux restaurants de l'établissement « Le Jardin » et « Le Carpaccio » viennent d'avoir confirmation de leur étoile au Michelin 2007.

Le mérite en revient aux équipes d'Osmane Aïdi, le propriétaire de la société INTERHOTELS qui dirigeait brillamment ces deux tables parisiennes jusqu'à sa fermeture brutale par la société Hoche Financement (actionnaire de l'établissement) pour des raisons obscures.

Rappelons qu'Osmane Aïdi préside également aux destinées du restaurant « Les Elysées » de l'Hôtel VERNET (la table d'Eric Briffard) promu fort justement à deux étoiles dans le dernier classement Michelin.

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What is this about? Hotel Chains Selling Beds and Bed Linens?

By David Wilkening

Wednesday, 28th February 2007

Westin was among the first to offer sales of the "Heavenly Bed" - Hampton Inn followed - announcing recently that starting next January - its guests would have a chance to bring their hotel's sleep equipment home with them.

What is this about? Hotel chains (Hampton is part of Hilton Hotels Corp.) selling beds and bed linens?

As it happens, selling bedding and pillows (separately or together) is only one example of new perks that have been appearing recently as the creativity race is on in an increasingly competitive hotel market.

“No doubt about it: We’ve checked into the platinum age of hotel pampering, where heavenly mattresses and hedonistic bathrooms are now just the bare minimum,” wrote Kitty Bean Yancey in USA Today.

This is not an entirely new development.

In what was at the time sometimes referred to as “amenity creep,” all the major hotels in the 1970s played “keep up with the Jones” by making shampoos and bath amenities de rigueur. Bed turndowns also followed suit. And in the 1990s, guests came to expect such amenities as dedicated fax lines.

A newspaper report almost ten years ago pointed out that guests at the Nob Hill Lambourne in San Francisco were no longer just being asked whether they wanted a no-smoking room or not. They were being offered the free use of laptops during their stay.

That seems old-fashioned today.

Many of the old-time perks such as flat screens, coffee-makers and in-room safes are also old hat by now. So hoteliers are looking at finding new and enticing extras in a variety of ways.

Many of the perks, though far from all, involve new luxury touches.

In the later category: Creative amenities from various hotels in recent months have included offering four kinds of sheets (Rosewood’s Las Ventanas in Mexico, among others); 15 soaps, 22 bottled waters and 16 coffees (The Rome Cavaleiri Hilton); and an in-room basketball court (The Palms In Las Vegas).

The later also has a suite with a bowling alley.

Butlers have always been popular as an upscale amenity with the Ritz generally credited with pioneering the concept. But now the St. Regis chain has added E-Butler Service, where guests can be in constant e-mail contact with their wireless handheld PDA-equipped butler.

The pillow menu option is almost common (with the possible winner here Chicago’s Conrad, with six choices that include a pregnancy pillow).

With all the gadgetry and gimmicks, however, fairly simple service options continue to be popular at hotels. A massage therapist is on hand at the White Barn in Kennebunkport, Maine, to visit guest rooms and do a message from chocolate oil. A bath butler then runs a warm bath with chocolate-scented bath salts.

Some hotels/resorts offer perks that are logical because of their nature or location. Universal Orlando Resort, for example, offers Premier Pass members a variety of special privileges such as preferred self-parking, admission to the park and special events, and 8 free bottles of Zephyrhills water.

The geographic location of The Westin Bayshore in Vancouver is touted for its connection to the 1,000-acre Stanley Park via a picturesque seawall.

Perks can be as small as free Bloody Mary’s offered at the Hotel Rouge in Washington, DC, where complimentary morning drinks also include energy potions. Guests who ask for “yoga” rooms receive mats and instructional tapes.

A little more upscale perhaps is another Washington hotel, the Four Seasons Hotel at 2800 Pennsylvania Avenue that offers complimentary sedan service weekdays anywhere within the district.

The OHANA Hotels & Resorts announced that as of December, it will offer all guests’ free rides on the Waikiki’s famous Pink Line trolley, which goes to most of the area’s best-known destinations.  In the same announcement, a somewhat more pedestrian but perhaps even more valuable new perk will be free in-room and long-distance phone calls to the US and Canada.

A high-tech amenity is now available at the JW Marriott Hotel in Washington, where 32-inch TV’s offer split screens to surf the Web or answer e-mails while still watching a favorite program.

The Hotel Preston touts its good location near the Nashville airport and Opryland, but one of its perks offers a real claim to fame: goldfish in guest rooms. There’s also a pillow menu and lava lamps.

Frequent guests at the 37-hotel Kimpton chain who become GuestWare members by staying 15 nights or 45 nights during a calendar year not only get invited to hotel openings; they also get the direct phone number of CEO Tom LaTour.

“Being able to know our guests, serve them, reward them and market to them is the crux of what we are trying to accomplish with GuestWare,” says Renée Will George, director of customer relationship management and strategic marketing.

Looking at the “green” market, the Renaissance Chicago O’Hare Hotel offers complimentary, prime parking spots, a pair of Chicago Transit Authority passes and a cup of Starbucks to guests driving hybrid vehicles.

“It’s important that we work together to become more ecologically responsible,” says Mark Zettl, the hotel’s general manager.

Family or even perks aimed at children can also be popular. The TradeWinds Island Resorts on St. Petersburg Beach in Florida offer glow-in-the-dark volleyball on Tuesday nights. Families dress in washable neon paint clothing to volley and spike.

The Ritz-Carlton South Beach is looking at the “tween” market of 13-17 who are too old for its traditional Ritz program but presumably enjoy the latest Apple G5 computer systems with build-in iSight cameras. Itunes music, custom software and digital cameras are all part of the program available to kids.

Somewhat less technology is required at Ohio’s Cherry Valley Lodge, where kids can feed the ducks with free food found at the front desk of the resort located about 35 miles east of Columbus. Adults also have their own perk.They can rent a mascot who will not only entertain the youngsters, but also do the sometimes difficult job of tucking them in and convincing children it's time for bed...that's a little bit of Heaven in itself. 

A French hotel school in London.

Wednesday, 21st February 2007

Source: Eshotel

Eshotels' third campus opened last year in London - Eshotel first opened in Lille where Accor group, is a founding shareholder, then in Paris in 1993. The three schools add up to more than 500 students.

Eshotel in London offers a one-year top-up Bachelor in Hospitality administration in Russell Square, central London, near the British Museum. The Master program, taught in Paris in English will open in London in September 2008.

Faculty includes professors from Lausanne Hotel School and Cornell University, along with French renowned professionals like Mrs Zanaroli, housekeeping teacher, she has been chief housekeeper of Hotel Meurice, Royal Monceau and Crillon in Paris or Michel Kosossey, known in France as the "Pope of Marketing", he has wrote several best sellers on restaurant management, revenue management and menu design.

Eshotel 2007 sponsor was Dominique Desseigne, Groupe Lucien Barrière’s President at the Fouquet’s on the Champs Elysées. Mr Desseigne is responsible for the opening of the latest Leading Hotel of The World in Paris, the Hotel Fouquet’s.

Our 2006 sponsor was Hyatt Europe Vice-President Michel Jauslin. Past sponsors include Hilton group, Intercontinental Paris, the Crillon, the Ritz and many more of the greatest in hospitality.

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For more information on Eshotel please visit or email info@

Marriott certifies energy friendly hotels.

Sunday, 18th February 2007

Source : Marriott International, Inc.

More than 85 hotels will earn the ENERGY STAR label – signifying 35 percent less energy use, than average buildings – from the U.S. Environmental Protection Agency (EPA) this year.

With more than 200 ENERGY STAR-labeled hotels currently, Marriott continues to lead the hospitality industry in energy management and has set a goal to certify at least eight hotels per month with the ENERGY STAR award. Today, twelve hotels in Boston are being recognized at the Boston Marriott Quincy.

The 12 hotels earning the ENERGY STAR label today include: Boston Marriott Quincy; SpringHill Suites Peabody; SpringHill Suites Boston Andover; Courtyard Boston Norwood; Courtyard Boston Woburn/Boston North; Courtyard Boston Danvers; Courtyard Boston Lowell/Chelmsford; Courtyard Boston Foxborough; Courtyard Boston Stoughton; Courtyard Boston Milford; Residence Inn Boston Tewksbury/Andover; and TownePlace Suites Boston North Shore/Danvers.

“We are excited to add these twelve in Boston to our ENERGY STAR group of hotels,” said Pat Maher, senior vice president, Engineering and Program Management, Marriott International, Inc. “We have a global initiative in place that focuses on environmentally friendly programs from energy and water conservation to wildlife protection, which began over 10 years ago.”

Marriott recently announced that it has reduced greenhouse gas emissions by 70,000 tons in one year–the equivalent of removing 10,000 cars from U.S. streets*–and is the first hotel company to proactively join the prestigious EPA Climate Leaders Program. Additionally, the company has set a five-year goal to reduce greenhouse gases by six percent per guest room by 2010.

Marriott’s commitment to the environment is longstanding. With the introduction of ECHO, Environmentally Conscious Hospitality Operations, more than a decade ago, Marriott focused on water and energy conservation, clean air, recycling, wildlife preservation and neighborhood cleanups. Marriott works in partnership with hotel owners and franchisees to implement sustainable environmental practices, which reflect the environmental interests and concerns of our guests, associates, business partners and communities.  

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Checking In at the Hotel of Tomorrow

The hotel industry looks to the future, with far-out ideas from robot bellhops to rooms that monitor your health.

By Susanna Hamner, Business 2.0 Magazine writer-reporter

February 13 2007: 2:26 PM EST

(Business 2.0 Magazine) -- How can hoteliers best serve the road warrior of 2025? What technology will future tourists expect in their Travelodge? Those are the questions that led Chicago-based design firm Gettys and the Hospitality Design Group earlier this year to gather 100 industry experts, drawn from companies such as Starwood Hotels (Charts), Whirlpool (Charts), and strategy firm Phillips & Co.

The result: 1,000 game-changing ideas, many of which were unveiled at the Global Exposition and Conference for Hospitality Design in Miami in September. "No other project has brought together so many people from different industries and recognizable companies for a single cause," says Ron Swidler, Gettys's senior vice president. "The hotel industry has historically been slow to change, but it has embraced this project."

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So while robot bellhops and health-monitoring bathrooms may seem far-fetched, you'd better believe hotels are eyeing them for the long term. One of this year's top ideas - turning hotels into retail showrooms where guests can try out and then buy any of the items on display - has already been implemented by chains such as Hyatt and Kimpton.

Next up, experts say, are "lifestyle" hotels built around themes and co-branded with large companies: say, an athletic-themed Nike (Charts) hotel brought to you by Starwood. In the meantime, check out the industry's best ideas for the future of checking in.

LOBBY

Choose-Your-Own Check-In Tired of rooms that are not as advertised? Now you can pick your own, based on 3-D photos and room reviews from previous guests. And the hotel can upsell an executive to the penthouse suite by showing him that plasma TV in the living room.

The "Botler" Did It Bellhops are so 20th century. This robotic butler not only carries your bags but lives in your room for the duration of your stay. It can be programmed to fetch room service and take away trash and dirty dishes. Best of all, it won't glare at you while you fish in your wallet for a tip.

Kinetic Corridor It isn't just the lobby and rooms that cater to your needs. When the corridor detects human CO2 emissions, LCD panels on the ceiling become a blanket of stars, and illuminated signs point guests to their rooms, with large numbers for tired eyes. The carpet's nanofibers fight static and stains.

A Key to Everything No longer are your room key, hotel phone, and concierge separate entities. After scanning your fingerprint, this voice- and touch-controlled wireless gizmo lets you read e-mail, book theater tickets, and order room service - while you're still in the elevator.

ROOM

Bath and Beyond The nanotech revolution means spotless antibacterial bathroom tiles, not to mention intelligent bathtubs that mold to the shape of your body. It's gentler on the environment too. Water from the sink and shower is filtered into the toilet reservoir, rather than going down the drain. And all toiletry bottles are biodegradable.

Remaking the Bed Since it takes up so much of a room's real estate, a bed ought to be multipurpose. This one flips over into a work surface or rises all the way up to become a ceiling panel. The bed's base lights up in each configuration, thanks to built-in light-emitting capacitors (LECs).

A More Comfortable Comforter The sheets are made of special nanofabric that keeps itself clean and can be adjusted for firmness and heat. Biosensors measure your body temperature and instruct the fabric to adjust accordingly.

Fashion Police Can't decide what to wear to the big meeting? A reader scans the ubiquitous RFID tags in your clothes, and the room's software suggests the best combination - or points you to local clothing boutiques.

Home Cooking Guests are offered room-service menus, TV shows, radio stations, and news printouts from their home state or country.

The Hot Seat This multitask chair is equipped with reading lights, fold-up tablet tray tables, and integrated speakers near the ears. The nanofabric is flexible, breathable, antimicrobial, and even self-repairing. The vertical antenna on the right tablet functions as a videocamera. When it's active, the tablet screen below becomes a viewing screen. The muscle stimulation switch provides a relaxing massage. Can your Aeron do all that?

Power Up Don't worry about bringing charger cables. Electricity is transmitted magnetically via a mesh power grid stationed under floors and behind walls.

Happy Feet Pads on the bathroom floor read your vital signs while you're barefoot at the sink and figure out what nutrients you're lacking; they're then mixed in a gel and available in a dispenser next to the faucet.

KITCHEN

Porta-Gallery Taking a cue from Airstream trailers, this all-in-one prefabricated kitchen can be dropped into a modular hotel suite, then removed for the next guest. Everything is made from bioengineered cornstarch materials. The dishwasher doubles as a storage area for dishes, which get blasted with antimicrobial cleaning solutions to ensure that they're always clean. The stove and oven function as a single unit. The storage unit on the right is a pantry, fridge, and minibar, which can be loaded from the hotel corridor through a trapdoor in the wall. [pic]

6 best beers for this fall

Each year at this time, brewers small and smaller roll out distinctive stouts and ales.

By Ellen Florian Kratz, Fortune writer

September 29 2006: 9:39 AM EDT

NEW YORK (Fortune) -- As baseball gives way to football and local Oktoberfests start springing up all over the country, autumn becomes yet another good time to break open a beer.

But instead of reaching for the usual six-pack, the next few months will present plenty of opportunity to sample so-called seasonal beers - special recipes that brewers offer for a limited time.

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Seasonal brews have a tradition that goes back more than 1,500 years when Monks in northern Europe would save their finest ingredients to make a special beer for Christmas.

What little of this tradition migrated to America was largely wiped out by prohibition, says Stan Hieronymus, author of "Brew Like a Monk" and the editor of . "In the 60s, 70s, and 80s, there was one style of beer in the United States. International light lager."

But in the past few years, beer drinkers' tastes have shifted. In 2005, according to Beer Marketer's Insights, import and specialty beers grew 7.5 percent, while mass-marketed beers fell 1.6 percent. Although there are no hard numbers for seasonal brews, the recent resurgence of microbreweries have contributed to their new-found popularity.

One piece of evidence that these limited beers have staying power: Big brewers have gotten in on the action.

Anheuser-Busch (Charts), the maker of Budweiser and Bud Light, is quietly building up its portfolio of seasonal brews. Its autumn beer: Jack's Pumpkin Spice Ale, brewed with Oregon pumpkins, cinnamon, ginger, nutmeg, and clove. Other specialty brews the king of beers is cooking up: Brew Masters' Private Reserve, an all malt lager, Winter's Bourbon Cask Ale, made with dark-roasted caramel and aged on bourbon oak casks, and Michelob Celebrate Chocolate, aged on cocoa beans.

It's hard to say exactly when these seasonal brews will make their appearances, but it's wise to be on the lookout from now until the end of the year.

Here are a few of Hieronymus' picks that any true beer lover should have on his radar:

Fuller's: Vintage Ale

Each autumn brings a unique recipe from this United Kingdom brewer, so stocking up and allowing flavors to emerge over the years makes for fun comparisons down the line. Despite the difference from year to year, there's an underlying malty, full flavor, Hieronymus points out.

"It has a wonderful yeasty character," he says.

Last year, just 1,600 cases made their way to North America. So when you see it, buy it, because it won't be available for long.

Anchor Brewing: Our Special Ale

It's hard to say exactly what you'll be getting from a bottle of this seasonal brew because the recipe changes annually, and the San Francisco brewer keeps its ingredients top secret.

"Some years is has a lot of spruce in it," says Hieronymus. "Sometimes you get notes of cinnamon."

Which means that you may like one year more than another. True beer enthusiasts treat this ale as though it were vintage wine, tucking a few bottles away in a cool, dark cellar to allow flavors to change and ripen over time.

Sierra Nevada: Celebration

Celebration is an American India Pale Ale, so expect a strong flavor of hops. Hops act as a preservative, and since this beer doesn't really spend ages on a boat going to India, the flavor is intense, even citrusy.

If you're into pairing beer with something other than pizza or nachos, this one goes well with prime rib and lamb.

Affligem Brewery: Affligem Noel

A strong, dark, spicy beer with a hint of fruit and raisins. This beer has an alcohol content of 9 percent, so it's not for quaffing. Sold in a dark bottle with a cork and wire top, "it makes a nice pop presentation," says Hieronymus. "It's like opening a bottle of champagne."

Brooklyn Brewery: Brooklyn Black Chocolate Stout

A deep brown imperial stout with complex flavors. When it's fresh, there is a strong roasty character to the brew. Aged, it takes on the character of sherry. Goes well with a chocolate dessert. Availability of this seasonal brew is limited to eastern states.

Great Divide Brewing Company: Hibernation Ale

Brewed in July and aged until October, this rich malty beer is available for the six weeks from Nov. 1 to Dec. 15 each year. This beer is both rich and sweet.

"There's a caramel character, even a little bit of toffee," says Hieronymus. "And it's fun to lay it down and see how it changes over time."

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Marriott plans high-def TVs with 'digital connectivity panels'

Mar 02, 07 | 1:58 am

 

Marriott International announces Monday an upgrade of televisions at high-end hotels. It's aimed at providing better pictures, more programming and centralization of electronic gadgets used for work and entertainment.

Marriott's initiative gives it a slight edge on competitors also scrambling to meet the demands of multitasking techno-guests. Hilton, Sheraton and Hyatt Place have similar plans.

Marriott will install 32-inch high-definition, liquid-crystal display televisions. They're attached to "digital connectivity panels" that allow a guest to connect several digital devices — laptops, camcorders, digital cameras, video games and iPods.

Once tapped into the TV's flat-panel screen and the 25-watt speakers, a guest, for example, may work on the laptop and watch TV simultaneously on a split screen. The system also permits listening to an iPod through the sound system.

Marriott will roll out the upgrade over three years at its Marriott, JW Marriott and Renaissance brands in North America. By the end of 2007, about 25% of the high-end hotel rooms will have the system.

Enjoying strong demand, hotels in recent years have improved traditional amenities such as bedding and furniture. With an influx of younger guests traveling with more gadgets, they're turning now to technology.

Marriott's new TV system also comes with more channels — an increase to 45 or 64 stations from 28, depending on the hotel location. New channels include NFL Network and The Science Channel.

Henry Harteveldt, a travel technology analyst at Forrester Research, predicts the project will be well received. "It's a pretty bold move. It reflects how ingrained technology is in travel," he says.

Hyatt is testing a system to be introduced later this year at Hyatt Place, its new moderately priced chain in suburbs and near airports. It features a 42-inch high-definition TV with a plug-in panel for portable devices. The TVs are in place already at the six Hyatt Places now open, and the plug-in panel will be installed starting in the spring, spokeswoman Amy Patti says.

In April at two hotels, Hilton will test a new system of a 42-inch high-definition TV with a plug-in panel. It includes more channels than now available, premium sound and a program to replay highly rated TV shows. Hoyt Harper, a Sheraton executive, says the chain has begun installing 32-inch high-definition TVs in rooms and plans to add "new hardware" that would allow guests to multitask. He declined to be more specific, saying the plans are still in the works.

Business traveler Brenna Strickland, a technology consultant in Atlanta, says she welcomes the idea of using the large screen for work and entertainment and watching her own DVDs. "Eye fatigue at the end of the day is a big issue for consultants," she says.

HOTEL NEWS RESOURCE

|Marriott Goes Digital |

|[pic] |Marriott, JW Marriott and Renaissance First Lodging Brands to Offer HDTV and Plug-In Panel That Works |

| |Seamlessly With Guests' Digital Devices |

|Brands Expect All Hotels in the U.S. and Canada to be Equipped Within Three Years |

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|Marriott Hotels & Resorts, JW Marriott Hotels & Resorts, and Renaissance Hotels & Resorts will become the first lodging brands to offer |

|high-definition, LCD televisions with a digital connectivity panel in all its guest rooms in the U.S. and Canada. Using the new plug-in |

|panel, guests can connect a host of digital devices to view on the flat panel, high-definition screen, including laptops, camcorders, |

|digital cameras, video games and more. The standard 32 inch televisions are also equipped with a 25-watt stereo speaker system so guests |

|can listen to the tunes on their MP3 players and iPods; no headphones required. |

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|'Today's hotel guests typically travel with many digital devices, not just a laptop, so providing more than high-speed Internet access and |

|WiFi is a must,' said Bob McCarthy, president, North American lodging operations and global brand management, Marriott International. 'When|

|we test marketed the HDTV and connectivity panel among guests, the response was overwhelming. This type of in-room technology was critical |

|to them.' |

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|The new HDTV and connectivity panel can multi-task so business travelers can be more productive on the road. For example, the screen can be|

|split so guests can watch TV while checking e-mail or researching on the Internet. Or, they can relieve stress playing a video game while |

|listening to an iPod at the same time. With the new HDTV, the number of television channels is also increasing from the current base of 28 |

|to as many as 64 stations in the U.S. and Canada. These include the popular NFL Network and the Science Channel, as well as great family |

|choices, such as Disney, HBO Kids and the Cartoon Network. |

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|By the end of 2007, Marriott International, Inc. (NYSE:MAR) expects to have the new technology installed in 25 percent of its JW Marriott, |

|Marriott and Renaissance guest rooms in the U.S. and Canada, totaling nearly 40,000 rooms. The rollout should be completed by the end of |

|2009. This week, the San Francisco Marriott Moscone Center became the latest to offer the new technology in all its guest rooms. |

|Installation should be completed this year at high-profile hotels, including the New York Marriott Marquis; the Renaissance New York Hotel |

|Times Square; the Marriott Wardman Park Hotel in Washington, D.C.; the Detroit Marriott at the Renaissance Center; the JW Marriott Desert |

|Ridge Resort and Spa, Phoenix; the Camelback Inn, a JW Marriott Resort & Spa, Scottsdale; the Renaissance Pere Marquette Hotel in New |

|Orleans; and the San Antonio Marriott Rivercenter. |

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|20|20 Skills Employee Assessment Welcomes New Client |

|Despite clear benefits, many companies fail to conduct any type of assessment during the recruiting process. In doing so, these |

|companies miss out on a valuable opportunity to gauge candidates’ intellectual abilities and the likelihood that their personality and |

|skill set are suited to the job and your company’s culture. However, forward-thinking organizations exploit the power of legitimate |

|assessments. 20|20 Skills is here to help. |

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Regardless of the segment, professionals in the global hospitality industry seek talented and passionate personnel. These peak performers bring key competencies to their positions.

Created from the latest, cutting-edge research by HVS, Cornell University and the world-renowned psychometric firm Integrated Knowledge Systems, the 20|20 Skills assessment provides feedback on 10 crucial performance characteristices.

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Measuring big picture orientation, vision and goal setting.

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Measuring needs for collaboration, affiliation and team work.

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Measuring aspects of innovation, creativity and curiosity.

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Measuring sensitivities to individual, cultural and ethnic differences.

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Measuring concerns for fairness, equity, integrity and ethics.

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Measuring ability to think strategically, and find solutions to complex problems and situations.

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Measuring concerns for guest or customer satisfaction.

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Measuring aspects of emotional intelligence, confidence, independence, self-direction and reaction to stress.

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Measuring a candidate's capacity to identify strongly with an employer and exhibit dedication and obedience to company policies, procedures and the company's vision and mission.

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Measuring ability to use and appreciate humor in social and business situations as a means to build rapport and diffuse interpersonal conflict and tension.

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You may be wondering how to proceed once you’ve received the test results. 20|20 Skills was specifically designed to answer such questions for you. Its the only assessment with test feedback that makes your job easier and more productive by actually outlining an action plan with:

• Succinct, easy-to-understand summaries of the candidates scores on each competency No lengthy feedback reports that are filled with psychological jargon and which never get to the point.

• Full documentation on how candidates scored on each individual test question relative to customizable norms No absence of detail or documentation for HR files.

• Dynamically-generated set of questions to ask candidates or their professional references, based on candidates distinctive response patterns No need for you to learn complicated psychological concepts or to spend valuable time deciphering the feedback to develop an action plan.

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|Deux roues motorisées : l'allumage des feux le jour obligatoire pour tous dès aujourd'hui | |

|Pour une meilleure visibilité par les autres usagers, l’allumage des feux de croisement le jour devient obligatoire pour l’ensemble |

|des deux-roues motorisés à partir d'aujourd'hui, vendredi 2 mars. Un décret publié au journal officiel hier, étend en effet |

|l’obligation d’allumage des feux de croisement le jour aux motocyclettes légères et aux cyclomoteurs. Les motos d’une cylindrée de |

|plus de 125 cm³ sont soumises depuis 1975 à l’obligation d’allumage des feux de croisement le jour. Les effets bénéfiques de cette |

|mesure pour la sécurité des motards sont reconnus par tous. En 2005, plus de 94% des motocyclistes circulaient de jour avec leurs feux|

|de croisement allumés. |

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|Le Gouvernement a décidé, lors du Comité interministériel de la sécurité routière du 6 juillet 2006, de faire bénéficier l’ensemble |

|des usagers de deux-roues à moteur de cette mesure de sécurité, soutenue également par les associations nationales de motocyclistes. |

|Certains véhicules plus anciens ne sont pas conçus pour supporter l’allumage en permanence des feux. De ce fait, l’obligation ne |

|s’applique qu’aux cyclomoteurs mis en circulation après le 1er juillet 2004. Des sanctions ont été prévues en cas de non observation |

|de cette mesure. Ainsi compter d'aujourd'hui, le conducteur d’un deux-roues motorisé qui circulera de jour sans allumer les feux de |

|croisement de son véhicule sera passible d’une contravention de deuxième classe (amende forfaitaire de 35 euros). |

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| |Food and Beverage Manager |

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| |NexC JobMart 200702-3211 |

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| |Food and Beverage Manager |

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| |Responsibilities : |

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| |Manages the Food and Beverage operations of various F&B outlets of the resort |

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| |Lays out short- term plans for departmental operations together with the Director of Food and Beverage |

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| |Establishes standards and guidelines which will ensure the high levels of foodservice quality and departmental |

| |productivity |

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| |Identifies relevant and appraisable components for cost efficient operations |

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| |Achieves and surpasses budgeted revenues, minimizes cost and increases profitability in the departmental operations |

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| |Qualifications : |

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| |Must have working experience in Asian Resorts in 5 star properties |

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| |Minimum of 3 years Food & Beverage experience as Food and Beverage Manager with recognized achievements |

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| |Ability to speak and communicate effectively before groups of customers, guests and employees |

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| |Knowledge of health and safety regulations |

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| |Must be knowledgeable of all aspects of restaurant, room service, bar and banquet operations |

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| |Excellent knowledge of fine foods, wines and spirits |

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| |Superior organizational and time management skills with the ability to interact closely with guests, staff and |

| |management |

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| |Executive Search is a personalized service of NexC JobMart. All information provided will be handled with utmost |

| |confidentiality. |

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| |executivesearch@ |

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Communiqués de presse

LE SYNHORCAT REAGIT AVEC FORCE A DE RECENTES DECLARATIONS DE L’UMIH ET DU GNC SUR LA REMUNERATION AU POURCENTAGE SERVICE

2 mars 2007

Le SYNHORCAT se déclare stupéfait d’apprendre ce jour par voie presse que l’UMIH et le GNC, auxquels il s’est associé pour signer l’accord social du 5 février dernier, annoncent s’être engagés, sans même le concerter, à répondre favorablement à la demande de CFTC, CFE-CGC et FO, de redéfinir les composantes de la grille annuelle des salariés rémunérés au pourcentage service, et notamment l’exclusion des primes ...

Le SYNHORCAT est d’autant plus abasourdi par cette annonce, que la rémunération au pourcentage service ne concernant principalement que Paris et l’Ile de France, où le SYNHORCAT est nettement majoritaire, ainsi que la région PACA (où il détient également une forte représentativité), n’intéresse donc principalement que des adhérents du SYNHORCAT !

Cette prise de position de l’UMIH et du GNC tend à laisser penser que l’union syndicale, longtemps souhaitée par le SYNHORCAT, finalement acquise au prix de nombreuses concessions réciproques, semble aujourd’hui en péril, peut-être même compromise.

"Je déplore profondément cette annonce, qui je l’espère n’est qu’une erreur de communication, déclare Didier Chenet, Président du Synhorcat. Nous venons de négocier un accord sérieux ensemble, et pour notre part, nous souhaitons poursuivre le travail engagé avec le même sérieux et dans l’unité. Nous sommes tout à fait d’accord pour reprendre les négociations sociales rapidement, mais ne confondons pas vitesse et précipitation, de nombreux dossiers importants et urgents sont en attente ; celui de la grille de salaire en fait partie, il nous faut l’étudier et le réfléchir avec beaucoup de soin et d’attention, ce à quoi nous allons nous employer avant de reprendre la négociation avec les salariés en juillet prochain, après l’augmentation annuelle du SMIC".

Contact Presse :

Elisabeth Lévanen Responsable de la Communication et relations presse du Synhorcat Tel : 01 42 96 61 07 - 06 62 89 30 23 - e.levanen@

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Bacardi officiellement intéressé par la vodka Absolut

Le groupe de spiritueux, connu pour son rhum éponyme le plus vendu au monde, a écrit au gouvernement suédois qu'il était intéressé par le rachat de la deuxième vodka mondiale. La privatisation de ce joyau, très convoité et valorisé plus de 4 milliards d'euros, ne devrait pas intervenir avant l'automne.

C'est le premier candidat déclaré: Bacardi, numéro trois mondial des spiritueux, a officiellement écrit au gouvernement suédois pour l'informer de son intérêt pour Vin & Sprit, l'entreprise publique propriétaire de la vodka Absolut et d'autres actifs dans les vins et spiritueux. Andreas Gembler, le directeur général de Bacardi, dont le rhum éponyme est le plus vendu au monde, l'a révélé au Financial Times, dans son édition de lundi.

"V&S et en particulier Absolut sont un joyau pour un groupe comme le nôtre", a-t-il déclaré, soulignant que ces marques seraient "fantastiquement complémentaires" pour Bacardi. Domicilié aux Bermudes, le groupe familial, non coté, est contrôlé par plus de 500 descendants du fondateur de la distillerie originale. Il possède déjà la vodka Grey Goose, distillée en France et numéro un aux Etats-Unis, acquise en 2004 pour 2 milliards de dollars.

Ce joyau, valorisé 4,3 à 4,6 milliards d'euros par les analystes, est toutefois convoité par tous les grands groupes de spiritueux: Diageo, le leader mondial des spiritueux et propriétaire de la première vodka en chiffre d'affaires, Smirnoff, a indiqué qu'il regarderait le dossier lorsqu'il serait ouvert, bien que les spécialistes du secteur doutent que les autorités de la concurrence autorisent un tel rachat. Or, "le dossier n'est pas encore ouvert", selon une source bancaire bien informée. Si le gouvernement suédois de centre-droit a demandé vendredi au parlement l'autorisation formelle de privatiser V&S, le processus de mise en vente, voire d'introduction en Bourse, ne devrait pas intervenir avant l'automne.

Selon ce bon connaisseur du dossier, la loi de privatisation ne devrait être votée que dans six à huit semaines au plus tôt, soit fin avril ou courant mai, et le processus de vente démarrer en septembre. Stockholm n'a d'ailleurs pas encore choisi ses banquiers conseils mais seulement présélectionné six établissements. Vin & Sprit fait partie d'une liste de six participations à vendre mais ne sera pas forcément prioritaire. Le gouvernement pourrait chercher à conserver l'ancrage suédois d'Absolut et préférer une introduction en Bourse ou bien une vente à des fonds d'investissement suédois.

Même le français Pernod Ricard devrait regarder le dossier Absolut. Si sa priorité est de racheter la vodka russe Stolichnaya, qu'il distribue déjà, les discussions, ouvertes en mai dernier avec la société étatique russe FKP, semblent s'enliser. "Si Stoli nous échappe, nous regarderons de près Absolut", affirme une source proche du groupe, qui n'aurait pas besoin d'augmentation de capital pour financer ce rachat. Mais l'acquéreur le plus logique semble être le groupe américain Fortune Brands, propriétaire du bourbon Jim Beam, du cognac Courvoisier et de la tequila Sauza: il est déjà lié à V&S par des accords de distribution et capitalistiques et "ne peut se permettre de perdre la commercialisation du portefeuille du groupe suédois", selon les analystes de JP Morgan. Il serait d'ailleurs le seul dispensé de payer les 330 millions d'euros de frais de rupture de ces accords, à déduire ainsi du montant de l'offre à proposer. Bacardi affirme de son côté qu'il n'aurait aucun besoin de venir chercher de l'argent frais en Bourse pour financer une opération de la taille d'Absolut, démentant ainsi les rumeurs d'introduction au Nyse réapparues cet été...

Delphine Cuny

Record des exportations de vins et spiritueux grâce au champagne et cognac

Tirées par le champagne et le cognac, les exportations de vins et spiritueux ont progressé de 13% en 2006 à 8,74 milliards d'euros. Les ventes aux Etats-Unis et en Grande-Bretagne, les deux premiers pays clients, ont grimpé de 22% et 8%.

Une année record. Le retour en grâce des ventes de champagne et de cognac ont permis à la France d'augmenter de 13% à 8,74 milliards d'euros ses exportations de vins et spiritueux l'an dernier. Selon la Fédération des exportateurs de vins et spiritueux de France (FEVS), les champagnes ont ainsi retrouvé "le niveau record de 1999" avec des ventes à l'étranger en hausse de 15% à 2,1 milliards. Tirés essentiellement par la performance du cognac, les spiritueux ont aussi grimpés de 16% à 2,6 milliards.

L'an passé a également confirmé la reprise des exportations des vins tranquilles (non effervescants) surtout sur les segments moyen et haut de gamme. Une embellie qui ne doit, selon Philippe Casteja, président de la FEVS, "pas faire oublier la nécessité de poursuivre le travail amorcé dans la filière viticole pour retrouver une compétitivité durable sur tous les segments de marché des vins tranquilles".

Les Etats-Unis, de loin la première destination des exportations de vins et spiritueux, contribuent largement à la croissance des résultats avec une progression de 22% à 2 milliards d'euros, suivis par le Royaume-Uni, deuxième débouché des ventes, avec 1,46 milliard, en hausse de 8,2% après deux années en retrait.

Par ailleurs, la montée en puissance de l'Asie comme destination privilégiée des exportations se confirme. Singapour s'affirme dans son rôle de plaque tournante régionale tandis que la Chine et Hong Kong consomment davantage.

Enfin, la Russie devient le onzième débouché avec une forte progression de 26,2%, même si les exportations ont été freinées par une nouvelle législation ayant pénalisé la distribution des boissons alcoolisées. Philippe Casteja relève la "diversité des marchés", l'Union européenne ne représentant plus "que 47,6% de nos exportations, l'essentiel de ces dernières étant imputables aux pays tiers". Cette tendance devrait se confirmer en 2007.

Grèves dans les maisons de Champagne

Dans le contexte euphorique du côté des chiffres des exportations, plusieurs centaines de salariés des maisons de Champagne ont fait grève et manifesté aujourd'hui mardi à Reims pour demander une hausse de 2,2% de leur salaire en 2007. Entre 700 (selon la police) et 1.000 personnes (selon les organisateurs) ont manifesté pour demander "l'augmentation de 2,2% des barèmes de salaires pour l'année 2007", a déclaré à la presse le secrétaire général CGT des métiers du champagne, Patrick Leroy. "Ce n'est pas excessif compte-tenu des 321,6 millions de bouteilles vendues" en 2006, a-t-il ajouté, reprenant des chiffres officiels publiés début février. Les salariés du champagne ont été augmentés de 2% en 2006 pour "un salaire conventionnel moyen de 1.500 euros, sur 14 mois", selon Patrick Leroy.

latribune.fr

Bière

Carlsberg prévoit une année 2007 plus difficile

Le brasseur danois a dégagé en 2006 un bénéfice net en hausse de 70% à 1,88 milliard...

La Tribune.fr - Paru le 20/02/07

Restauration

Les inaccessibles étoiles du Royal Monceau

L'édition 2007 du Guide Michelin a confirmé leurs étoiles aux deux restaurants du palace parisien Royal Monceau. Mais ces deux adresses ne peuvent accueillir leurs clients pour le moment car l'hôtel reste fermé.

Les deux restaurants gastronomiques situés dans l'hôtel de l'avenue Hoche à Paris, le Carpaccio et le Jardin, conservent chacun leur étoile Michelin en 2007.

Le docteur Osmane Aïdi, homme d'affaires syrien, qui s'oppose actuellement à la société Hoche Investissement pour la propriété du Royal Monceau, se félicite de cette reconnaissance.

Mais cette distinction du guide culinaire est pour le moment inutile aux deux établissements. En effet, le palace, placé sous administration d'un mandataire ad hoc par le tribunal de Paris, reste fermé. Des travaux de remise en état sont prévus et ils devraient durer jusqu'en juin prochain. Les gastronomes devront donc prendre leur mal en patience.

Spiritueux

Recul du bénéfice semestriel pour Diageo

Le numéro un mondial des spiritueux a vu son bénéfice net reculer de 23% à 895...

La Tribune.fr - Paru le 15/02/07

luxe

Résultats record pour LVMH en 2006

Le groupe de luxe dirigé par Bernard Arnault (photo) affiche un bénéfice net record...

La Tribune.fr - Paru le 14/02/07

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