The George Washington University



Intouchables (PROF)

Avant le cours sur le film:

(Pour étudiants):

La bande annonce (activité sur syllabus de BBd)

• Écrivez des phrases complètes pour décrire ce que vous voyez dans la bande annonce.

(Pensez aux questions "qui/que/quoi/où/quand/comment/pourquoi".)

= = =

OU (autre possibilité, mais dans ce cas n'oubliez pas de supprimer l'activité prévu dans le syllabus)

(Pour profs):

La bande annonce

Projection de la bande annonce sans le son.

Durée 30 minutes max

Puis projeter avec le son, encore 5 minutes pour compléter; discussion/correction

La classe est divisée en binômes

• Écrivez des phrases complètes pour décrire ce que vous voyez dans la bande annonce.

(Pensez aux questions "qui/que/quoi/où/quand/comment/pourquoi".)

• Les étudiants formulent des hypothèses sur le thème et intrigue du film

• Le professeur fera caractériser la bande annonce selon la grille suivante :

|QUI ? |QUE/QUOI ? |Où ? |QUAND ? |COMMENT ? |POURQUOI ? |

| Philippe |  |  |  |  |  |

| Driss |  |  |  |  |  |

| La police |  |  |  |  |  |

|L'ami de Philippe | | | | | |

|etc. | | | | | |

(vocab: bas de contention = compression/support stockings)

TRANSCRIPTION

Dialogues :

• « Je viens chercher mon papier, par rapport aux…

• Entrez !

• Assedic.

• Comment vous vivez l'idée d'être un assisté ? Ça ne vous gêne pas de vivre sur le dos des autres ?

• Ça va, merci, et vous ?

• Vous pensez que vous serez quand même capable de travailler ?

• Vous en avez de l'humour !

• J'en ai tellement que je suis prêt à vous prendre à l'essai pendant un mois ! Je parie que vous ne tiendrez pas deux semaines !

• C'est un truc de ouf ça !

• Non, mais, vous avez fini de jouer, là ?

• Et, mais en fait, vous sentez rien du tout là ? Et la jupe, elle est où là ?

• Non, ça c'est des bas de contentions et si je ne les mets pas, je risque de m'évanouir !

• Moi je ne vais pas vous mettre des bas, hein ! Même pour vous ! Vaut mieux vous évanouir ! Franchement, à un moment donné, faut… On dit : non, on ne les met pas, faut, heu là !

• Voilà, c'est bon comme ça !

• Attends !

• Hé, hé, héhéhé !

• Bon appétit.

• Et, s'il vous plait, oh ! Hé ! Hé, héhé ! »

• « C'est qui ce type ? Autour de toi, tout le monde s'inquiète ! Tu ne dois pas laisser rentrer n'importe qui chez toi ! Surtout dans ton état !

• Dites-moi, vous n'avez pas envie de prendre le large ?

• Vous voulez vous barrer, c'est ça ? Et on va où ?

• Respirer un peu.

• Ça y est, les voilà ! Cent euros que je les mets dans le vent !

• Tenu ! »

- See more at:

= = = =

Cours sur le film:

L'affiche

Observation et description de l'affiche du film

Durée 5-10 minutes max

En binômes, les étudiants décrivent l'affiche pour mettre en place

le thème du film :

(Les personnages, leurs âges, origines sociales, styles de vie…)

• Nom(s) du (des) réalisateur(s) ?

R: Eric Toledano, Olivier Nakache

• Quels en sont les acteurs principaux ?

R: Philippe: Francois Cluzet

Driss: Omar Sy

• Quel est le titre du film ?

R: Intouchables

• Pourquoi ce titre ?

R: deux idées: leur amitié = plus rien de les arrêtent (ils sont intouchables)

ET (?) référence à la caste des Dalits (intouchables) en Inde - un handicapé/un jeune noir de banlieue tous les deux 'exclus' de la société

• Que savez-vous des personnages principaux d'après l'affiche?

R: vêtements, blanc/noir = classes sociales différentes ; sourire, ensemble = amis

AUTRES: sorti en 2011 , titre aux USA "The Intouchables"

Les personnages principaux:

[15 minutes]

Quelles couleurs dominantes dans le choix des décors ont été utilisées pour marquer une opposition entre les deux personnages principaux?

R: rouge/or/bleu v. gris

Comment est-ce que la musique du film contribue à renforcer cette opposition?

R: classique (Chopin/Berlioz/Vivalid) v. soul/funk (Kool & the Gang/Earth, Wind & Fire)

Décrivez la maison de Philippe à Paris et l'appartement en banlieue de Driss.

hôtel particulier: grand, luxe, art, meubles

appartement (HLM): petit, chaos,

Y a-t-il d'autres éléments qui marquent l'opposition entre Philippe et Driss?

blanc/noir, riche/pauvre, handicapé/sans handicap (physique)

= = =

III. Des images:

Numérotez les images selon leur ordre d’apparition dans le film ET donnez à chaque image un titre court et simple.

[10 minutes]

[pic]

Reconstitution de la chronologie de l’histoire

– [Groupe classe]. Correction à l’aide des réponses page suivante. Cette phase de correction va ensuite permettre aux apprenants de faire le résumé oral de l’histoire. Noter le vocabulaire nouveau au tableau.

| | |

|[pic] |[pic] |

|7 |4 |

| | |

|[pic] |[pic] |

|5 |6 |

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|[pic] |[pic] |

|8 |2 |

| | |

|[pic] |[pic] |

|3 |1 (ou 7...) |

Idée (si vous avez le temps): Raconter la suite du film

– [travail individuel]. A partir du dernier photogramme, écrivez la suite de l’histoire en 80 mots environ.

[Cinéfête 2013/Dossier pédagogique/Intouchables, de E. Toledano et O. Nakache]

= = =

IV. La critique:

[discussion 10 minutes]

Intouchables est le film le plus vu (the most watched) dans l'histoire du cinéma français. Mais le film ne plaît pas à tout le monde.

Lisez cette critique SANS utiliser de dictionnaire. Essayez de comprendre le plus possible en 15 ou 20 minutes et puis écrivez deux ou trois phrases pour réagir à l'opinion de l'auteur. Êtes-vous d'accord ou n'êtes-vous pas d'accord? Pourquoi?

(Si vous le souhaitez, vous pouvez également lire rapidement les commentaires des lecteurs en bas de la page pour vous donner des idées.)

= = =

Le Nouvel Observateur

"Intouchables" : pourquoi je déteste ce film et son succès

Publié le 05-12-2011 à 16h34 - Modifié le 05-11-2011 à 18h34

649 réactions | 210958 lu

[pic] Temps de lecture : 4 minutes

[pic]

Par Thierry de Cabarrus

Chroniqueur politique

"Intouchables" raconte la rencontre d'un riche aristocrate paralysé et d'un caïd des cités. Une belle leçon d'amitié ? Un laïus sur la tolérance ? La révélation de l'acteur Omar Sy ? Très peu pour Thierry de Cabarrus, qui ne peut souffrir ce film.

Édité par Amandine Schmitt 

Intouchables, j'ose le dire alors que la critique l'encense, c'est tout ce que je déteste: un mélo qui ne s’assume pas et qui se déguise en comédie. C’est le contraire d’un film coup de poing, d’un film clair et politique où, comme dans la vraie vie, (c’est Le Parisien Libéré qui l’écrit tous les jours) le pauvre vole le riche, l’insulte, le massacre à coups de batte de baseball pour lui arracher son code de carte Gold avant de jeter sa dépouille à la mer, lui et son fauteuil roulant.

Deux archétypes de milieux irréconciliables

Intouchables, c’est un petit film de crise, qui joue sur les bons sentiments, qui ménage la chèvre du respect et le chou du racisme. La parabole est là, hypocrite et limpide comme une recette à faire un bon film culte, celle de l’aveugle et du paralytique par exemple : prenez un pauvre d’aujourd’hui, un gars des cités et mettez-le en présence d’un méchant riche devenu gentil à force d’être malheureux. Le premier devient le larbin du second et tous deux apprennent à se respecter et à s’aimer l’un l’autre. On pleure, rideau.

Sauf que les deux personnages, les archétypes de deux milieux irréconciliables, ne devraient jamais se rencontrer (même si c’est arrivé, dit-on, une fois, une seule dans la vraie vie, je vais y revenir) : d’un côté, un loulou de banlieue, forcément black, et donc un peu voleur, un peu dealer comme tous ses frères, forcément naïf puisqu’il se satisfait de dormir dans des draps de soie, forcément queutard et obsédé par les femmes blanches à cheveux clairs, forcément bon danseur comme tous les blacks ; de l’autre côté, un riche, belle gueule, famille d’aristocrates, grandes études (il a fait Science-Po, forcément), réussite, grosse fortune, hôtel particulier grouillant de serviteurs heureux et zélés d’être exploités par un milliardaire si gentil. Et voilà la trouvaille: le héros blanc, le patron autoritaire est devenu tétraplégique et humain du même coup. Pas dans un banal accident de voiture, comme tout le monde. Non, dans un crash en parapente, c’est plus chic.

L'image d'Oncle Ben's sur les paquets de riz

Omar Sy, le grand black qui joue sa propre caricature dans le SAV sur Canal+ a beau faire des prouesses, chanter, danser, conduire des bolides, il rit et roule les yeux comme un blanc s’attend à voir rire et s’étonner un noir, et au bout du compte, il ne parvient pas à décoller de lui l’image d’Oncle Ben’s qu’on voit sur les paquets de riz en faisant les courses chez Lidl. Quant à François Cluzet, engoncé dans son fauteuil roulant, il continue d’en faire des tonnes, tête et épaule sans cesse en mouvement (tiens, ça me rappelle quelqu’un !), au lieu d’adopter la raideur et le détachement élégant d’un Eric Von Stroheïm dans La Grande Illusion.

Mais j’entends déjà les cris d’orfraie. Pourquoi tant de haine ? Après tout, c’est une histoire vraie ! D’accord, Éric Toledano et Olivier Nakache (Tellement Proches) ont repompé, pour faire leur cuisine à succès, une histoire vécue, un documentaire un peu racoleur de 2003, "À la vie à la mort", dans lequel Mireille Dumas présentait, dans le cadre de la promotion d'un livre, l’amitié improbable de deux hommes qui n’auraient jamais dû se rencontrer : le prince Philippe Pozzo di Borgo, un riche homme d’affaires paralysé depuis un accident d’aile volante et Abdel Sellou, un petit loubard de banlieue devenu à la fois son homme à tout faire et son confident. Sauf qu’une telle histoire, même si elle est vraiment arrivée à un pauvre parmi 10 millions d'autres, sonne faux et ne peut être ressentie, chez les plus révoltés, chez les plus désespérés, chez les plus marginalisés, que comme une provocation supplémentaire.

 Une bluette déguisée en film générationnel

[...]

Intouchables, c'est une bluette déguisée en film générationnel, une tragi-comédie invraisemblable qui oscille entre deux idées : un pauvre, pour s’en sortir, a besoin de circonstances exceptionnelles et du soutien d’un riche, fût-il handicapé. Mais en ces temps de crise, l’espoir, aussi ténu soit-il, aussi réduit que de gagner à l’Euromillions (une chance sur 60 millions de combinaisons !), mérite qu’on y croie sauf à se faire sauter la cervelle ou à mettre le feu dans les garnis et les HLM. Bref, c’est un gros mensonge que de faire croire en la possibilité d’une île dans une mer aussi hostile, en un rêve français. Oui, c’est un film mensonge programmé pour devenir un film culte.

 = = = = = = =

Vos réactions (649)

[pic]Dorrileen Haest a posté le 19 décembre 2013 à 15h34

Nous sommes des étudiants flamand et la réaction ci-dessous fait partie de notre examen oral pour le cours de communication français.

Nous ne sommes pas du tout accord avec votre opinion de ce film. Premièrement on réalise très bien que dans le film il y a beaucoup de stéréotypes et que c’est un mélo ce qui est déguisé en comédie, comme vous dites.

Mais nous sommes d’avis que c’est quelque chose de bon. Pas tout le monde aiment des films chargés émotionnellement, ils aiment rire, ils aime ce aspect humoristique. Nous avons donc aimé ce film grâce aux stéréotypes et grâce aux aspects humoristiques.

[pic]Miclaire Girod a posté le 4 octobre 2013 à 10h45

Pauvre CABARUS !!! qui avec prétention intellectuelle pense tout connaître de la vie ? il n'est q'un grand "JE" avec la toute puissance de ne penser qu'a lui. Son nombril est si grand qu'il fait bibliothèque pour ses livres , il devrait les consultés devant une glace , cela lui rendrait service .

[pic]nicolasfelli a posté le 29 août 2012 à 05h48

pitoyable comme journaliste... un critique de maternelle...

je ne serais pas étonné qu'en réalité vous aillé aimé ou même apprécié ce film... le problème de la France n'est pas les différence entre pauvreté ou richesse... la couleur de peau ou quoi que ce soi....

le problème est le faite d'aimer critiquer, juger, renier... vous gagnez votre vie en jugeant le travaille des autres mais que proposez vous vous? que créez vous??? rien...

vous me faite penser à cortex, Eric zemour, Michael vendetta ou n'importe quel comédien des télé réalité d'aujourd'hui... le scandale fait vendre, l'agressivité, le jugement donnant l'impression aux gens d'être quelqu'un... petite question pour vous?? que pensez vous de vous et de vos opignons?

je suis handicapé mr et vous voulez savoir ce qui ma touché dans ce film??? le faite que pour une fois un handicapé ne soi pas regardé ou traité avec gène ou pitié... les gens nose pas nous regarder nous parler ou ils ont une approche parfois trop médical... être traité d'egal à égal ca apporte du bonne au coeur quand il souffre...

comme lu sur d'autre commentaire, connaissez vous vraiment les banlieue? connaissez vous vraiment qui sont et comment sont les gens vivant en banlieue? bien aux chaud depuis votre bureau de journaliste.

énormément reste des gens poli, bien élevé qui on du respect... les banlieusard que vous décrivez reste une minorité qui fait beaucoup plus parler d'eux...

d’après vous ce film d

[pic]nicolasfelli a posté le 29 août 2012 à 06h36

en lisant les autres commentaire j'ai penssé à quelque chose non mensionné.... peut être que dans votre génération et votre jeunesse la difference de couleur et clivage était génant... mais pour tout les jeune et toute les génération entre 0 et 30ans aujourd'hui... la couleur on sen fou royalement... voir un noir travailler pour un blanc, un blanc travailler pour un noir, un arabes avec un noir ou un blanc ou un juif ou je ne sais quoi... on à tous grandi ensemble, on ce respect nous... pour nous aucune différence....comparer omar sy à oncle bens??? quelle honte de penser ça...

[pic]robert gratadet a posté le 20 juillet 2012 à 10h57

Ce film est juste une bouse franco française où un jeune malfrat de banlieue vient apporter la joie de vivre, la spontanéité, le vrai sens de choses au sein d'un univers sclérosé, guindé et en somme, handicapé. Cependant, la culture dans le domaine des arts, si bien en littérature, en peinture ou en musique ne s'apprend pas en trois semaines. Y en a ras le bol des clichés de riches mettant des fortunes dans des toiles peintes sous les roues d'un camion avec un peu de sang du chien écrasé en prime. J'ai perdu mon temps à regarder une suite de scènes mal fagotées et improbables. A aucun moment on sent de la sincérité dans ce navet. Le cinéma français a fait un grand saut dans le néant.

[pic]Rose barbier a posté le 13 octobre 2012 à 21h16

Quel est le problème avec l'apport de joie de vivre ? pauvre petit cynique malheureux, plus sérieusement, un partie des gens qui m'exaspèrent sont ceux critiquant pour le plaisir de critiquer et se démarquer un peu de la masse. Je dis Bof. Je parle pour ton commentaire seulement car L'article publié un peu plus haut est clairement argumenté. J'estime alors qu'il est en droit de ne pas aimer ce film et qu'il a quelques raisons. Cependant pour ma part, je pense seulement que si nous devions toujours nous calquer sur la réalité, nous ne ferions plus aucun films dans le sens où ils démontrent forcément, toujours et dans tous les cas, une histoire extra-ordinaire, qui nous touche tout en étant exeptionnelle. Allez les gars ! on voit un film pour se détendre au fond de son canapé avec sa chérie dans ses bras et rêver un bon coup , pas pour déprimer au fond de son hopital psy pour cause que la société est désespérément triste.

[pic]Sophie Camus a posté le 6 juin 2012 à 12h55

La perception de ce film comme une provocation prouve que vous méprisez profondément les personnes défavorisées qui vivent en cité, ou tout du moins que vous ignorez tout de leurs attentes et de leur vie quotidienne. Ainsi pour vous, leur misère est telle qu’il vaut mieux ne plus en parler, ne pas véhiculer d’espoir, autant dire, faire comme si ils n’existaient pas ou leur proposer une représentation misérabiliste et pitoyable.

La façon dont vous préjugez des attentes des personnes défavorisées prouve que vous n’avez jamais vécu dans une cité, et n’y comprenez rien. Il est dès lors très intéressant de vous entendre déblaterrer votre science à ce sujet, comparable au logarithme népérien de un.

C’est la raison pour laquelle, je vous conseille vivement, de remballer votre plume pour des sujets que vous maîtrisez.

Que vous ayez fait des études de journalisme, de sociologie ou même de psychologie au plus haut niveau ne vous donne pas l’expérience de la vie, et en l’occurrence, semble même vous obscurcir le jugement à point navrant.

Vous avez cependant tout à fait le droit de ne pas apprécier ce film, et je m’en soucie comme de ma dernière chemise, mais ne prétendez pas comprendre les difficultés sociales mises en avant du haut de votre confortable quotidien bien rangé et bien sous tous rapports.

En ce qui me concerne, outre la mise en scène et même le thème du film, moi qui ai vécu toute ma vie dans le 93, je me suis enfi

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sources pour ces activités:

Cinéfête 2013/Dossier pédagogique/Intouchables, ()



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d'autres idées:

voir aussi Fiche-Italie pour questions de comprh.

Pour analyser une scène...

cadrage:

|plan d'ensemble |montrer tout le décor et tous les personnages (pour donner du contexte|

| |à toute la scène) |

|plan de demi-ensemble |montrer une partie du décor ou de l'action (pour tirer l'attention sur|

| |un seul personnage ou sur certains personnages ou certains aspects de |

| |la scène) |

|plan rapproché taille |montrer le(s) personnage(s) de la taille (waist) à la tête (pour |

| |accentuer l'intimité, mieux voir les expressions et gestes) |

|plan rapproché poitrine |montrer le personnage de la poitrine (chest) à la tête (pour accentuer|

| |encore plus l'intimité, les traits/expressions du visage, pour aider à|

| |comprendre les aspects moraux et psychologiques) |

|gros plan |montrer une partie d'un personnage (pour montrer clairement les |

| |émotions, pour mieux comprendre les aspects psychologiques, etc.) |

| |[close-up] |

Le handicap...

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