Home | Historica Canada



Outils d’apprentissage Passages Canada : ?ducation aux adultes LINC/FLSRésumé :Cette ressource pédagogique est con?ue pour être utilisée dans une classe de FLS/Francisation pour adultes dans une classe de niveau 5 et plus du Centre des niveaux de compétence linguistique canadiens, mais elle peut être adaptée pour des niveaux différents. Les principaux thèmes de cette ressource sont l’immigration, l’identité, les expériences des réfugiés et l’ajustement à une nouvelle vie au Canada. Cette ressource est b?tie autour de cinq entrevues filmées, chacune d’entre elle expliquant sous un angle différent la réalité de quitter son pays d’origine et de s’adapter à une nouvelle vie ailleurs. La première vidéo met en vedette Clément Ndiaye (Sénégal) qui parle des défis qu’il a eu à affronter lors de son arrivée au Canada?: parler et comprendre l’anglais, trouver un emploi et l’importance de conserver son identité culturelle tout en intégrant celle de son pays d’accueil.La deuxième vidéo met en vedette Marie-Denise Douyon (Ha?ti) qui parle de son statut de réfugiée politique et de la reconstruction de son identité dans un nouvel environnement.La troisième vidéo, avec Léonie Tchatat (Cameroun), raconte aussi son expérience de réfugiée politique ainsi que la reconstruction de son identité dans un nouveau pays.La quatrième vidéo met en vedette Miguel-Iván Barradas (Mexique) qui raconte son expérience de demandeur d’asile et des difficultés associées à l’intégration des réfugiés politiques.Dans la cinquième vidéo, Fabrice Yoboua (Toronto, Canada) raconte l’histoire d’un enfant d’immigrants et du fossé générationnel et culturel entre la 1re génération d’immigrants et la 2e génération, née ici, ainsi que du racisme qu’il a vécu.Finalement, la sixième vidéo met en vedette Michael Pierre Farkas (Montréal, Canada), qui parle des défis qu’il a d? relever à l’adolescence, en tant qu’enfant noir adopté par une famille de Blancs et vivant dans un petit village où il n’y avait pas beaucoup d’enfants comme lui auxquels s’identifier. Toutes les vidéos comprennent des activités de développement langagier incluant des questions de préparation au visionnement des vidéos, des questions de compréhension, des activités de développement du vocabulaire, des activités d’écriture suivant le visionnement des vidéos et des activités d’interaction et de discussion. L’activité finale encourage les étudiants à partager leur propre histoire concernant leur venue au Canda dans les Archives des témoignages de Passages Canada .? la fin du document, vous trouverez tous les feuilles de travail pertinent (Annexes 1-13), ainsi qu’un une clé de correction (Annexe 14).Objectifs :Cette ressource éducative vise à : Mettre en lumière des histoires d’immigration au/à travers le Canada,Encourager ou susciter des discussions et échanges sur l’identité culturelle, le patrimoine, l’immigration, les enjeux des réfugiés, l’adaptation à un nouvel environnement et surmonter les obstacles et difficultés, Mettre l’accent sur des compétences précises du développement de la langue (interagir, écouter, lire, écrire, développer du vocabulaire); et, Préparer les étudiants à partager leur propre histoire de leur venue au Canada et/ou de leur héritage. Habiletés langagières : Compréhension oraleInteraction, discussion/ habiletés de présentation oraleDéveloppement du vocabulaire Habiletés de lecture/ à lireHabiletés d’écriture/ à écrirePartageons notre histoire?: Vidéos de Passages Canada Activité d’amorce?: D’où venons-nous?-8509011430Note aux enseignants?: Le but de cette activité est de mettre les étudiants en contexte pour la présentation des vidéos de Passages Canada et de susciter leur intérêt. Cette activité aide aussi ceux-ci à mieux se conna?tre et à trouver des similitudes dans leurs expériences d’immigrants. 00Note aux enseignants?: Le but de cette activité est de mettre les étudiants en contexte pour la présentation des vidéos de Passages Canada et de susciter leur intérêt. Cette activité aide aussi ceux-ci à mieux se conna?tre et à trouver des similitudes dans leurs expériences d’immigrants. Débutez cette activité préparatoire en distribuant le tableau (Annexe 1) aux étudiants. En premier, demandez-leur de s’interviewer les uns les autres et de partager avec leur partenaire les informations inscrites dans le tableau. Lorsque les étudiants ont fini de s’interviewer, utilisez le tableau et demandez à chaque étudiant de présenter les informations obtenues sur leur partenaire. Notez ces informations sur le tableau noir ou un tableau blanc interactif afin que toute la classe puisse voir. ? la fin, demandez aux étudiants d’identifier les expériences d’immigration au Canada qui se ressemblent (par exemple, deux personnes dans la classe viennent de l’Inde, trois personnes sont venues s’installer au Canada à cause d’instabilité politique dans leur pays, etc.). Questions préparatoires au visionnement?:Demandez aux étudiants de travailler en petits groupes ou en dyades pour répondre à ces questions. Discutez ensuite des réponses avec toute la classe. Quelles sont quelques-unes des raisons qui poussent une personne à quitter son pays d’origine? Pourquoi les immigrants choisissent-ils le Canada pour recommencer leur vie? Ou comme vie nouvelle? Quels sont les défis majeurs lorsqu’on arrive dans un nouvel endroit et qu’on doit s’ajuster à une nouvelle vie? Qui ou qu’est-ce qui aide les nouveaux immigrants à surmonter la majorité des défis auxquels ils sont confrontés? Quelles sont quelques-unes de vos premières impressions ou premiers souvenirs de votre arrivée au Canada? Qu’est-ce qui vous a surpris le plus et le moins? Quels rêves ou buts est-ce que les immigrants ont pour eux et leur famille en venant au Canada? Qui peut offrir le meilleur conseil à un nouvel immigrant à propos de l’ajustement à sa nouvelle vie au Canada?Partie A : La vidéo de Clément Ndiaye (Sénégal) Cette vidéo est disponible par lecture vidéo en transit à : fr/videos/conseils-aux-nouveaux-arrivants/Ou vous pouvez demander votre exemplaire gratuit format DVD de deVENIR Canada à : fr/commande-dvd/Activité 1 : Comprendre l’histoire de Clément Ndiaye?coutez l’histoire de Clément et indiquez Vrai pour les énoncés qui sont véridiques et Faux pour ceux qui ne sont pas vrais sur la feuille de travail fourni (Annexe 2). Si l’énoncé est faux, écrivez la bonne réponse. Activité 2 : Représentation visuelle (affiche) - “Mon voyage d’immigrant”Demandez aux étudiants de créer une affiche d’informations ou une ?uvre d’art à propos de leur périple en tant qu’immigrant vers le Canada ainsi que leur vie et les rêves qu’ils avaient et ont toujours à propos de leur vie dans leur pays d’accueil. Vous pouvez leur fournir les idées suivantes :Une affiche qui montre leur vie avant et après leur arrivée au Canada.Une image à propos de ce qu’ils espèrent vivre et être dans 5 ans, dans 10 ans, dans 20 ans. Où habiteront-ils? Qui sera avec eux dans leur image/dessin? Que feront-ils?Une ligne du temps qui montre les événements importants dans leur vie jusqu’à présent. Encouragez les étudiants à utiliser autant du texte que des éléments visuels. Pensez à fournir aux étudiants du matériel pour dessiner, peinturer et/ou coller. Invitez-les à présenter leur travail aux autres étudiants de la classe. Partie B : La vidéo de Marie-Denise Douyon (Ha?ti) Cette vidéo est disponible par lecture vidéo en transit à : fr/videos/experience-des-refugies/Ou vous pouvez demander votre exemplaire gratuit format DVD de deVENIR Canada à : fr/commande-dvd/Activité 1 : Apprendre à propos des réfugiésAvant de regarder la vidéo de Marie-Denise, demandez aux étudiants de faire une recherche en ligne à propos des réfugiés. Quel est le plus grand camp de réfugiés du monde? D’où viennent les résidents de ce camp? Quelles sont les raisons qui poussent quelqu’un à quitter son pays et à devenir un réfugié? Sélectionner un camp de réfugiés pour l’examiner plus en détails. Quelles sont les conditions de vie dans ce camp de réfugiés? Prenez en considération les maisons, l’éducation, les soins de santé.Combien de réfugiés sont re?us au Canada chaque année? Qui peut demander un statut de réfugié? Ressources en ligne:L’Encyclopédie canadienne, ??Réfugiés?? (Cet article est destiné à une clientèle adulte et le niveau de difficulté du texte se situe à un niveau collégial).thecanadianencyclopedia.ca/fr/article/refugees/Citoyenneté et Immigration Canada, page sur les?refugiés Activité 2 : Vocabulaire et mots-clés Utilisez le tableau (Annexe 3) pour apprendre du nouveau vocabulaire avant de regarder la vidéo de Marie-Denise. Utilisez votre dictionnaire ou l’Internet pour trouver les définitions et ensuite écrivez une phrase en exemple. Le premier mot a été fait pour vous comme modèle. Activité 3 : Vocabulaire en contexteRegardez la vidéo de Marie-Denise et écrivez le mot manquant dans la transcription (Annexe 4) lorsque vous l’entendez dans l’entrevue. Partie C : La vidéo de Léonie Tchatat (Cameroun) Cette vidéo est disponible par lecture vidéo en transit à : fr/videos/experience-des-refugies/Ou vous pouvez demander votre exemplaire gratuit format DVD de deVENIR Canada à : fr/commande-dvd/Activité 1?: Questions de compréhension oraleRegardez la vidéo de Léonie Tchatat et répondez aux questions suivantes?:Pour quelles raisons Léonie est-elle venue au Canada?Léonie dit que son arrivée au Canada a été une expérience difficile dès le départ, mais positive plus tard. Donnez au moins deux raisons qui expliquent cette difficulté.Léonie est arrivée au Canada en tant qu’étudiante. Elle a ensuite d? changer son statut. Pouvez-vous dire pour quelle raison?Léonie nomme plusieurs défis quand on est nouveau et qu’on ne conna?t pas le processus du statut de réfugié. Nommez-en un.Léonie est très persévérante. Quand elle a commencé à s’informer, qu’a-t-elle découvert?De quelles personnes Léonie a-t-elle eu la chance d’avoir des conseils, du soutien et de l’encadrement qui lui ont permis de remonter la pente?Léonie a deux petits gar?ons. Dans quoi doivent-ils vivre aujourd’hui?La culture africaine de Léonie est innée en elle. Quelle autre culture est une complémentarité à sa culture africaine?Léonie s’est toujours sentie Canadienne même sans avoir les papiers. Même avant l’obtention de sa citoyenneté, elle était très impliquée. Selon elle, quelle était la différence entre avoir la citoyenneté canadienne et son statut de réfugiée?Léonie nomme plusieurs raisons pour lesquelles il faut partager les histoires d’immigration. Nommez-en une et expliquez pourquoi.Activité 2 : Résolution de problème/écriture Demandez aux étudiants d’écrire une lettre à un réfugié nouvellement arrivé au Canada. En se basant sur les histoires de Marie-Denise et de Léonie, demandez-leur d’identifier trois problèmes majeurs auxquels les réfugiés peuvent avoir à faire face. Ensuite, ils doivent offrir une solution pour les résoudre. Cette activité peut requérir une recherche à propos des services et ressources offerts dans les centres communautaires de votre région. Activité 3 : Discussion de groupe sur la citoyenneté canadienne Discutez à propos de ce que signifie ??obtenir sa citoyenneté canadienne??. Prenez en considération les droits et libertés associés avec la citoyenneté canadienne. Parlez aussi des devoirs du citoyen canadien. Est-ce que devenir citoyen canadien n’est que de passer un examen, obtenir sa carte et le droit de vote? Est-ce uniquement parler l’une des langues officielles? La Charte canadienne des droits et libertés peut être une ressource très utile. Vous pouvez aussi cliquer pour obtenir des informations sur comment présenter une demande de citoyenneté canadienne.Partie D : La vidéo de Miguel-Iván Barradas (Mexique)Cette vidéo est disponible par lecture vidéo en transit à : fr/videos/experience-des-refugies/Ou vous pouvez demander votre exemplaire gratuit format DVD de deVENIR Canada à : fr/commande-dvd/Activité 1?: Raison de quitter son paysRegardez la vidéo de Miguel-Iván Barradas. Complétez le tableau (Annexe 5) en y inscrivant les informations à son sujet.Activité 2?:Comparez les témoignages des trois réfugiés. Notez les ressemblances et les différences (Annexe 5). Vous pouvez aussi faire dessiner un diagramme de Venn (Annexe 6) à vos élèves.Activité 3 : Activité d’interaction - Entrevues de classe Demandez à vos élèves de faire des entrevues avec leurs pairs à propos de leur profession et des buts qu’ils espèrent atteindre pour un emploi. Les étudiants peuvent utiliser le tableau (Annexe 7) pour amasser l’information sur leurs pairs. ? la toute fin, discutez avec la classe des défis que les immigrants doivent affronter lorsqu’ils essaient de se trouver un emploi au Canada.Partie E?: La vidéo de Fabrice Yoboua (Toronto, Canada) Cette vidéo est disponible par lecture vidéo en transit à : Ou vous pouvez demander votre exemplaire gratuit format DVD de deVENIR Canada à : fr/commande-dvd/Activité 1 : Concepts-clés et vocabulaireAvant de regarder la vidéo de Fabrice, prenez quelques instants pour travailler le vocabulaire. Demandez aux étudiants de relier le mot de vocabulaire avec la bonne définition (Annexe 8). Activité 2 : Questions de compréhension orale Demandez aux étudiants de regarder la vidéo de Fabrice et de prendre autant de notes qu’ils le peuvent. Ils peuvent consigner leurs notes dans le tableau suivant (Annexe 9). Après l’écoute de la vidéo, demandez-leur de répondre aux questions de compréhension qui suivent. Questions :Pourquoi les parents de Fabrice ont décidé d’immigrer au Canada?Pour quelles raisons y avait-il des discussions et tensions entre Fabrice et ses parents quand il était jeune?Comment Fabrice s’est-il senti après l’attaque raciste dont il a été victime?De quelle fa?on Fabrice définit-il son identité?Quel conseil Fabrice donne-t-il à un jeune dont ses parents sont immigrants?Activité 3?: Réfléchir à son futur ou aux jeunes enfants d’immigrantsEn vous basant sur l’expérience de Fabrice en tant qu’enfant de parents immigrants, réfléchissez à votre propre situation ou à celle de quelqu’un que vous connaissez. Comment géreriez-vous une situation semblable si vous avez ou prévoyez avoir des enfants? Quels conseils donneriez-vous à quelqu’un dont les enfants sont nés ici ou sont arrivés très jeunes afin qu’il n’y ait pas trop de conflits entre leurs valeurs et celles du pays d’accueil? ?crivez une lettre dans laquelle vous conseillez ces gens (ou vous-même) en vous basant sur l’expérience de Fabrice.Partie F : La vidéo de Michael Pierre Farkas (Montréal, Canada) Cette vidéo est disponible par lecture vidéo en transit à : Ou vous pouvez demander votre exemplaire gratuit format DVD de deVENIR Canada à : fr/commande-dvd/Activité 1 : Concepts-clés et vocabulaireAvant de regarder la vidéo de Michael Pierre, prenez quelques instants pour travailler le vocabulaire. Demandez aux étudiants d’associer le mot de la colonne de gauche à la définition du mot ou de l’expression dans la colonne de droite (Annexe 10).Activité 2 : Questions de compréhension orale Demandez aux étudiants de regarder la vidéo de Michael Pierre et de prendre autant de notes qu’ils le peuvent. Ils peuvent consigner leurs notes dans le tableau suivant (Annexe 11). Après l’écoute de la vidéo, demandez-leur de répondre aux questions de compréhension qui suivent. Questions :En quoi l’expérience de vie de Michael Pierre est-elle différente de celles de toutes les autres décrites dans les vidéos?Pour quelle raison est-ce que sa différence de couleur de peau a-t-elle été plus lourde à porter au secondaire?De quoi Michael Pierre s’est-il rendu compte une fois rendu au Cégep? Pour quelle raison trouvait-il tout de même spécial de se tenir avec des personnes de race noire? Comment définit-il sa notion d’identité?Pour quelle raison a-t-il choisi d’adopter le mode de vie ??rasta???Activité 3?: Comprendre le multiculturalisme au CanadaMichael Pierre est président de la table ronde du Mois de l’histoire des Noirs. Demandez à vos étudiants de faire une petite recherche sur l’histoire des Noirs au Canada. Ressources en ligne?: Histoire des Noirs au Canadaé et Immigration Canada, Le Mois de l’histoire des Noirs ’Encyclopédie canadienne, ?L’histoire des noirs au Canada?? à vos étudiants de consigner des informations dans le tableau (Annexe 12). Partie G : Archives des témoignages de Passages Canada Ressource : des invités dans les vidéos présentées nous racontent une histoire à propos de leurs expériences d’immigration vers une nouvelle communauté ou un nouveau pays. Les histoires ont tous comme point commun de parler de départ, de laisser sa maison, de devoir s’ajuster et s’adapter à un nouvel environnement ou une nouvelle communauté, et la complexité de l’identité culturelle. Les étudiants sont invités à partager leur propre histoire et à l’envoyer aux Archives des témoignages de Passage Canada. Comme activité de réchauffement, faites travailler les étudiants en leur faisant créer des petites histoires à propos de l’une des thématiques suivantes?: -leur nom (par exemple, l’origine ou la signification de leur nom);-leur naissance (une histoire à propos de leur naissance);-nourriture (histoire à propos de leur nourriture préférée); -leur famille.Vous pouvez utiliser la courtepointe (Annexe 13) pour écrire leurs idées. Si vous êtes intéressés à offrir un atelier pour travailler la narration et raconter leur histoire, vous pouvez commander les outils pour animer l’atelier de narration, qui incluent les documents à distribuer et un guide de l’animateur de Passages Canada en envoyant un courriel à passages@HistoricaCanada.ca. Annexe 1?: D’où venons-nous?Nom de l’étudiantPays/endroit d’origineDate d’arrivée au Canada/durée du séjourRaisons d’avoir quitté son paysPlus gros défi(s) rencontré(s) au CanadaAnnexe 2?: Comprendre l’histoire de Clément Ndiaye (Partie A, Activité 1)?noncésVraiFaux1.Clément a eu une très mauvaise impression de Montréal et du Canada lors de son arrivée en 2004.2.Pour son premier emploi, Clément a distribué des ??flyers?? au coin des rues McGill et Ste-Catherine.3.Malgré tous les dipl?mes qu’il possède, trouver un premier emploi qui correspond à ses capacités a été difficile pour Clément.4.Il a décroché un emploi dans son domaine, les finances, après 12 mois.5.Le plus gros défi de Clément a été d’apprendre l’anglais pour pouvoir travailler dans le service à la clientèle.6.Clément n’a re?u aucun soutien de sa famille et de ses amis pour apprendre l’anglais.7.Il a appris par c?ur les questions et les réponses qui pourraient lui être posées en anglais durant une entrevue.8. Il déteste beaucoup la liberté qu’il a, au Canada, de penser et de pouvoir avancer professionnellement sans aucune barrière.9.Après son arrivée au Canada, Clément a complètement abandonné sa culture sénégalaise.10.Il trouve très important de respecter les valeurs canadiennes et de conna?tre les différents enjeux du pays.Annexe 3?: Marie-Denise Douyon?: Vocabulaire et mots-clés (Partie B, Activité 2)VocabulaireDéfinitionPhraseex.?: arrestation arbitraireEx?: arrêter quelqu’un au hasard, sans raison valableLors de la manifestation, il y a eu beaucoup d’arrestations arbitraires parmi les manifestants. a. Meurtre b. Traumatismes c. Diasporad. Réfugiée. Avocatf. Se reconstruire g. Refaire sa vie h. S’approprier i. Défij. Non-ditk. Codes (culturels) l. Identitém. Expériences n. Multiculturalisme o. Faire une demandeAnnexe 4?: Marie-Denise Douyon?: Vocabulaire en contexte (Partie B, Activité 3)Transcription de la vidéo de Marie-Denise Bonjour, je m'appelle Marie-Denise Douyon. Je suis d'origine ha?tienne. Je suis arrivée d’Ha?ti à Montréal en 1991.QUITTER HA?TIJe suis arrivée à Montréal dans des circonstances un peu spéciales. J'avais 29 ans et c'était à la suite d'une __________________ qui a eu lieu en Ha?ti, à Port-au-Prince. L'arrestation a eu lieu sous Prosper Avril. Il y avait eu un ________________ ou un assassinat d’un membre de l'armée. Et après cette arrestation, j’étais avec mon copain et l'on voulait m'accuser, donc, du meurtre de cette personne. J'ai passé un mois en prison, incarcérée à Port-au-Prince. J’ai souffert de toutes sortes de ________________, parce que j'ai été battue. Donc, il a fallu après ?a, faire des démarches au niveau international. Il y a eu des démarches qui ont été faites à tous les niveaux en France, aux ?tats-Unis parce que la _______________ ha?tienne est établie dans tous ces pays-là, et j'avais de la famille établie au Canada également. Donc, à la suite de ces démarches, qui ont eu lieu au Canada, après le 7 février, il y a eu une amnistie. J'ai été rel?chée. Il faut que je dise aussi que durant ce couvre-feu, il y a eu beaucoup d'arrestations arbitraires : des arrestations de journalistes, des arrestations d'hommes politiques. Et le 7 février, les prisonniers ont été libérés et quelques semaines après, j'ai décidé de venir m'établir à Montréal, où j'avais de la famille : mon frère, mes cousines, ma belle-s?ur et d'autres amis. LA RECONSTRUCTIONLes premières semaines et les premiers mois, arrivée à Montréal, je me suis concentrée sur la reconstruction de ma personne. Je peux le dire comme ?a, à priori, en regardant maintenant avec le recul, mais lorsque je vivais cette reconstruction intérieure, j'avais, d’abord, à regagner confiance, à regagner du poids et à stabiliser mon statut. Donc, j'ai fait une demande d'asile, de statut de _____________ politique. Ce qui a occupé une partie de mon temps. Je me suis plongée dans la récupération d’archives de dossiers, des appels aussi, auprès du député de l'époque. Et finalement aussi, rencontrer un ___________qui a fait la demande de statut de réfugié. J'avais également ma cousine qui avait un studio d'artiste-peintre à travers des connexions. Et elle l'a mis à ma disposition, ce qui m'a permis aussi de créer et de m'évader un petit peu à travers la création pour ______________________. Et les choses se sont mises en place, tout doucement. Je n'avais pas le souci d'abord de me trouver un logement, parce que j'avais de la famille ici. Je n'avais pas le souci de travailler immédiatement non plus. Mais, au fur et à mesure, j'ai eu un premier contrat en illustration et ainsi de suite. Des amis de la diaspora ha?tienne m'ont présentée à d'autres amis. On a monté un magazine ensemble, qui s'appelait, à l'époque, ??Images Interculturelles??. Puis, je me suis reconstruit une vie, tout doucement, au cours du temps.SUR L’ADAPTATION_______________________ quelque part est un défi. Refaire sa vie, avant qu’elle soit une question d'ordre de citoyenneté ou d'identité démographique, est une reconstruction en soi. Je pense qu'il faut d'abord, en ce qui me concerne, reb?tir la confiance en soi, faire peut-être le deuil d'une vie dans une autre destinée, un autre chemin, un autre lieu. Et après, viennent les défis de ________________ les outils nécessaires pour pouvoir évoluer confortablement. J'ai grandi quand même hors d'Ha?ti. J’ai quitté Ha?ti, j’avais quatre ans. Je suis allée en Afrique du Nord, je suis allée d’abord en Algérie, mes parents se sont établis ensuite à Casablanca. J'ai fait mes études à New York et à Washington. Donc, je pense que la plupart des années de ma vie d'adulte se sont passées en Amérique du Nord. Donc, le défi n'était pas un ___________ d'apprendre les outils tels que : s'inscrire dans une banque, avoir un compte bancaire, une carte de guichet automatique, louer un appartement. Ces mécanismes-là viennent assez rapidement. Je pense que le grand défi, c'est au niveau peut-être du langage. Et je ne parle pas de la langue. Parce que je suis francophone, je suis bilingue, je parle anglais aussi. Mais le langage pour moi, c'est avoir les outils. Comprendre ce qui, culturellement, est codifié et __________. Dans les démarches d'entrevue, dans les démarches d'emploi, dans la fa?on de répondre aux autres. Je pense qu’on ma?trise la langue, mais on n'a pas le langage. Alors, je pourrais dire, par exemple, on a une bo?te d'outils, on a un tournevis, mais il nous manque le tournevis à étoile. On a le tournevis carré et ainsi de suite. Donc, il y a des petits outils comme ?a que je pense qu'en grandissant ici, la personne qui est née ici, gr?ce à tous ces cours de civisme, va avoir tous ces petits outils pour comprendre les non-dits. Et chaque culture a ses ________________. Des codes invisibles qu'on apprend au fur et à mesure. L’ART ET L’_____________La question identitaire fait partie aussi de ma création, en tant qu'artiste-peintre. Est-ce que quand je peins, je me dis?: ??Là, je vais peindre quelque chose d'africain, je vais peindre quelque chose d’ha?tien ou de Créole.?? Non, je pense que la question identitaire, la création – je pense que c’est Féron qui a dit ?a – c'est la récréation. C’est d’abord un acte ludique. Et après ?a, il y a tout ce qu'on a accumulé sur la rétine. J'ai beaucoup voyagé. Donc, au fil du temps, on voit des choses qui resurgissent. J'ai une attirance pour l'art africain. Cela s'explique probablement par mes origines, mais je ne me sens pas non plus obligée d'expliquer cette attirance. Je dis souvent que Gauguin est allé peindre dans le Pacifique et il n'a pas eu besoin d’expliquer. ?tre artiste, c’est suivre ses élans, ses émotions. Alors, dans tout ?a, il y a l'accumulation de toutes les ______________ de vie. SUR LE MULTICULTURALISMELe ______________ est un défi énorme, étant donné de tous les mouvements démographiques. On vit dans des sociétés où il y a toutes sortes de parcours qui viennent s'intriquer, se croiser. Il y a des réfugiés climatiques, il y a des réfugiés de guerre. Donc, regarder le multiculturalisme sans tenir compte de l'échiquier géopolitique serait un leurre. Mais, le grand défi, c’est d'amener tout le monde à ce consensus qui évolue et qui change. Comment faire face à toutes ces nouvelles valeurs, ces nouvelles religions, ces nouvelles fa?ons de faire, ces identités métissées? Donc, c’est de trouver l'équilibre qui va nous permettre de vivre face à un consensus social pour le mieux-être de tous. CONSEILS AUX NOUVEAUX ARRIVANTSCe serait un peu prétentieux de ma part d'avoir à donner des conseils à des gens qui arrivent, parce qu'on ne sait jamais dans quelles circonstances les gens sont arrivés. Parler à quelqu'un qui est un réfugié de guerre, on ne peut pas tenir le même discours face à quelqu'un qui a décidé de ___________________ et qui vient s'établir ici, disons, d'une entreprise à une autre et qui vient avec sa famille, qui a déjà quelqu’un en ??relocalisation??, qui a une maison qui l'attend dans un quartier huppé. Donc, les circonstances du départ vont marquer le type de conseil. Mais, de fa?on générale, si l'on parle d'intégration, je parlerais tout simplement de curiosité. Soyez curieux de l’autre. Allez vers l'autre. Faire preuve d'ouverture. Mais, c'est paradoxal, parce que si l'on a subi un traumatisme, la première chose qu'on veut, c'est peut-être le réconfort de sa propre communauté. On n'a pas besoin de vivre d'autres traumatismes trop violents. Mais, comment expliquer tous ces parcours qui sont si complexes? Alors, je dirais qu’en règle générale, la découverte de l'autre dans ce qu'il est, en tant qu'individu, devrait primer. Allez à la rencontre de l'individu et non de la culture, et ce sera une expérience de vie enrichissante.OrateurRaison de quitter son paysStatut lors de leur arrivée au CanadaDéfis majeurs dans l’adaptation à sa nouvelle vieDéfis particuliers du réfugiéMarie-DeniseArrestation arbitraire et incarcérationRéfugiée politique- Se reconstruire après une épreuve- Comprendre ce qui est culturellement codifiéX (pas mentionné)LéonieVenir faire des études et parce qu’elle avait une s?ur au Canada?tudiante, puis réfugiée- L’intégration- Survivre avec peu de ressources - Trouver des informations et des ressources - Conna?tre le processus du statut de réfugié- Se créer un réseau de supportMiguel-IvánAnnexe 5?: Miguel-Iván Barradas?: Raison de quitter son pays (Partie D, Activité 1 et 2)Ressemblances?: _____________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________Différences?: ________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________Annexe 6?: Comparez les témoignages?: Diagramme de Venn (Partie D, Activité 2)-52387511176000Nom de l’étudiant Profession Buts professionnels/ rêves à atteindre au CanadaDéfi majeurAnnexe 7?: Entrevues de classe (Partie D, Activité 3)Annexe 8?: Fabrice Yoboua?: Concepts-clés et vocabulaire (Partie E, Activité 1)1. Décalage culturela. Expression ou opinion toute faite, sans aucune originalité, cliché.2. Anecdote b. Caractère?permanent et fondamental de quelqu'un, d'un groupe, qui fait son individualité, sa singularité.3. Stéréotype c. Un processus de rattachement entre une personne, ou un groupe de personnes, et un autre groupe de personnes plus vaste. 4. Racismed. ?cart entre la culture du pays d’origine et la culture du pays d’accueil. 5. Identité e. Guide attentif et sage, conseiller expérimenté.6. Intégration f. Attitude d'hostilité systématique à l'égard d'une catégorie déterminée de personnes.7. Mentorg. Bref récit d'un fait curieux ou pittoresque, susceptible de divertir?; histoire.Annexe 9?: L’histoire de Fabrice Yoboua (Partie E, Activité 2)Expérience d’immigration des parents de FabriceVivre avec des parents immigrants?: décalage culturelVivre l’expérience du stéréotype et du racismeIdentité culturelleImportance d’un mentor pour le jeune de parents immigrants1. Adoptiona. Qui concerne ou qui rappelle la culture (musique reggae) ou les coutumes (cheveux tressés par exemple) des rastafariens ou des musiciens jama?cains de reggae qui les ont popularisées.2. Exception à la règleb. Personne à qui il ne manque rien?; riche.3. Bien nantic. Musique populaire jama?caine née, à la fin des années 1960, de la fusion du ska et des rythmes calypso venus de la Trinité avec le blues et le rock and roll nord-américain, et caractérisée par un rythme binaire syncopé avec le décalage du temps fort.4. Rastad. Prendre, au terme d'un jugement, pour fils ou fille celui, celle qui ne l'est pas naturellement. 5. Musique reggaee. Mode d'existence?de quelqu'un, d'un groupe que définissent un ensemble d'occupations, d'activités ou de préoccupations spécifiques.6. Mode de vief. ?tat de calme, de tranquillité, de confiance sur le plan moral.7. Sérénitég. Personne qui ne ressemble à aucune autre, qui appara?t comme unique ou rare.Annexe 10?: Michael Pierre Farkas?: Concepts-clés et vocabulaire (Partie F, Activité 1)Annexe 11?: L’histoire de Michael P. Farkas (Partie F, Activité 2)Famille de Michael PierreExpérience de vie au Mont-St-Hilaire, avant le CégepChoix des personnes avec qui il veut se tenirNotion d’identitéSon mode de vie ??rastafarien??Annexe 12?: Comprendre le multiculturalisme au Canada?: L’histoire des Noirs au Canada (Partie F, Activité 3)Moments clés dans l’histoire des Noirs au Canada (au moins cinq)Personnalité intéressante dans l’histoire des NoirsFaits intéressants sur cette personnalité (au moins cinq)Autres personnalités intéressantes dans l’histoire des Noirs Annexe 13?: Archive des témoignages?: Courtepointe ??historique??Racontez une histoire à propos de?:Annexe 14?: Clé de correctionActivité d’amorce : Réponses variéesQuestions préparatoires au visionnement?: Réponses variéesPartie A, Activité 1 – Vrai ou Faux?: 1. Faux, 2. Vrai, 3. Vrai, 4. Faux - Il a décroché un emploi dans son domaine après 3 mois, 5. Vrai, 6. Faux - Il a re?u beaucoup de soutien, 7. Vrai, 8. Faux – Il aime les libertés de penser et de pouvoir avancer, 9. Faux – Il garde sa culture sénégalaise vivante avec le langage, l’alimentation, des visites au Sénégal et des amis sénégalais. 10. VraiPartie A, Activité 2 – Affiche Mon voyage d’immigrant : Réponses variéesPartie B, Activité 1?: Réponses variéesPartie B, Activité 2 – Vocabulaire : a. meurtre?: homicide volontaire, tuer quelqu’un volontairement; b. traumatisme?: action violente provoquant des lésions locales; c. diaspora?: dispersion d’un peuple, d’une ethnie, à travers le monde; d. réfugié?: personne ayant quitté son pays d'origine pour des raisons politiques, religieuses ou raciales, et ne bénéficiant pas, dans le pays où elle réside, du même statut que les populations autochtones, dont elle n'a pas acquis la nationalité; e. avocat?: personne qui intercède pour une autre ou lui fournit un moyen de défense; f. se reconstruire?: construire de nouveau ce qui a été détruit; g. refaire sa vie?: modifier du tout au tout la nature de sa personnalité, de son caractère, de sa vie; h. s’approprier?: faire sa propriété de quelque chose; i. défi?: situation difficile se présentant à un individu ou à un groupe et qui nécessite qu’on trouve un moyen de le surmonter; j. non-dit?: ce qui, bien que chargé de sens, n’est pas formulé; k.?codes (culturels)?: l'ensemble des pratiques culturelles?: vocabulaire, go?ts culturels, habillement, lieu de résidence qui dénotent la place ou le rang social d'un individu et son appartenance à une classe ou catégorie sociale; l. identité?: ce qui fait la particularité d’un individu ou d’un groupe; m. expériences?: fait de faire quelque chose une fois, de vivre un événement; n. multiculturalisme?: coexistence de plusieurs cultures dans un même endroit; o. faire une demande?: adresser une requête à quelqu'unPartie B, Activité 3 : arrestation arbitraire, meurtre, traumatismes, diaspora, réfugié, avocat, me reconstruire, Refaire sa vie, s’approprier, défi, non-dit, codes, identité, expériences, multiculturalisme, faire une demande. Partie C, Activité 1 - Questions de compréhension orale : 1. Parce que ses parents voulaient qu’elle poursuive ses études au Canada et parce qu’elle avait une s?ur à Toronto; 2. Parce que, lors de son arrivée, sa relation avec sa s?ur n’était pas parfaite et parce que le processus d’intégration à l’école n’était pas facile?: choc culturel, nouveau système scolaire, l’hiver, la famille qui manque; 3. Parce que la situation politique de ses parents, qui étaient dans l’opposition, avait changé; 4. On n’a plus de revenu et on doit survivre; on n’a pas nécessairement de contact avec la famille et on se sent seul; tant que tu n’as pas ton statut, tu ne peux pas aller à l’école, tu ne peux pas travailler; expliquer son histoire devant un jury peut-être douloureux. 5. Qu’il existait des services en fran?ais, des organismes; qu’elle peut gagner de l’expérience canadienne en faisant du bénévolat. 6. Une bonne amie et les parents de cette amie, qui sont devenus comme ses parents; 7. Dans une francophonie plurielle; 8. Franco-ontarienne; 9. Elle ne pouvait pas aller voter; 10. C’est par elles que les nouveaux immigrants apprennent et comprennent le processus. Ils peuvent voir que, malgré les difficultés, il y a des modèles de succès. ? travers ces histoires, ils savent qu’ils ne sont pas seuls, que si on persévère, qu’on veut réussir et s’intégrer, tout est possible. Tout ?a fait en sorte que les immigrants peuvent voir que le Canada est une terre d’accueil et d’opportunité pour élever sa famille, vivre, grandir et partager cette valeur de citoyenneté canadienne.Partie C, Activités 2 & 3 – ?criture et discussion de groupe : réponses variéesPartie D, Activité 1 – Remplir le tableau?: raison de quitter son pays?: Miguel est journaliste et défenseur des droits humains au Mexique et il a vécu des situations difficiles qui l’ont obligé à quitter son pays; statut lors de leur arrivée au Canada?: demandeur d’asile; défis majeurs dans l’adaptation à sa nouvelle vie?: il ne parlait pas le fran?ais, le manque de tolérance de certaines personnes; défis particuliers pour un réfugié?: ils sont perdus; ils vivent dans la confusion générale; il y a peu de ressources culturelles pour faire leur intégration; ils ont un statut temporaire qui peut être périlleux; ils ne connaissent pas les traditions canadiennes.Partie D, Activité 2 – Ressemblances et différences : Ils sont tous des réfugiés, l’intégration n’est pas facile. Ils ont tous initiés des projets au Canada (Léonie a créé l’organisme La Passerelle, Marie-Denise un magazine, et Miguel-Iván une entreprise.) Léonie et Miguel-Iván : trouver des informations et ressources a été difficile, conna?tre le processus du statut de réfugié n’est pas facile; Marie-Denise et Léonie?: parlaient le fran?ais avant d’arriver, avaient de la famille au Canada; Marie-Denise?: arrestation arbitraire et incarcération dans son pays, a eu de la difficulté à se reconstruire, elle est artiste; Léonie?: elle est venue au Canada pour faire des études, a d? survivre avec peu de ressources et se créer un réseau de support?; Miguel-Iván : journaliste et défenseur des droits humains au Mexique, il ne parlait pas fran?ais.Partie D, Activité 3 – Entrevues de classe?: Réponses variéesPartie E, Activité 1 – Concepts-clés et révision de vocabulaire : 1-d, 2-g, 3-a, 4-f, 5-b, 6-c, 7-e Partie E, Activité 2 – Questions de compréhension : 1. Ses parents ont immigré au Canada pour venir étudier, l’éducation et l’ingénierie; 2. Parce qu’il y avait un décalage culturel entre lui et ses parents. Ils avaient de différentes idées de comment s’habiller, par exemple; 3. Il s’est senti attaqué, mis à part, il a perdu une certaine confiance; 4. Par rapport aux circonstances et par rapport aux personnes avec qui il est; 5. Trouve quelqu’un avec qui discuter (un mentor), avec qui te ressourcer, à qui tu fais confiance et avec qui tu peux parler. Trouve quelqu’un qui est passé à travers la même situation que toi et qui va pouvoir te conseiller.Partie E, Activité 3 – Réfléchir à son futur ou aux jeunes enfants d’immigrants?: Réponses variéesPartie F, Activité 1 – Concepts-clés et vocabulaire?: 1-d, 2-g, 3-b, 4-a, 5-c, 6-e, 7-fPartie F, Activité 2 – Questions de compréhension orale?: 1. Il n’a pas immigré ici de son plein gré et il n’est pas enfant d’immigrants; 2. C’est devenu plus marquant qu’il était différent des autres. Il a commencé à fréquenter les filles mais les parents des filles blanches n’étaient pas d’accord; 3. Il s’est rendu compte qu’il n’était pas comme les autres noirs rencontrés au Cégep, qu’il avait des go?ts et une culture différents, et qu’il voulait avoir des amis qui ont les mêmes affinités que lui, pas juste la même couleur de peau; 4. C’est de bien se sentir avec lui, s’identifier à ses parents, ses frères et s?urs, ensuite son milieu, son environnement. Pour la sienne, il a fait des recherches sur le mouvement rastafarien pour prendre conscience de qui il voulait être, de qui il était; 5. Parce qu’il sent que c’est qui il voulait être, qui il était, qu’il partage les mêmes go?ts, vues, pensées, et les messages des ambassadeurs le touchaient droit au c?ur et à l’esprit. Il voulait être serein et en paix.Partie F, Activité 3 – Comprendre le multiculturalisme au Canada?: Réponses variéesPartie F, Activité finale?: Réponses variée ................
................

In order to avoid copyright disputes, this page is only a partial summary.

Google Online Preview   Download